Les Burundais, les amis des Burundais même les ennemis des Burundais sont dans un choc émotionnel. Les gens de bon sens constatent que le dérapage journalistique est un poison très dangereux qui ravage ses horizons si personne ne réagisse pas vite pour empêcher la folie de se propager au plus vite qu’on ne s’y attendait, tellement le déraillement peut causer des conséquences tragiques au Burundi de demain. Les radicaux et les ennemis des Burundais se réjouissent dans l’irresponsabilité de tous les jours, ils viennent d’ouvrir honteusement les antennes de la radio Bujumbura news à une droguée dans le but de laisser une ancienne journaliste burundaise devenue folle par haine envers un peuple qui a permis que la démocratie persiste même dans les moments difficile au Burundi quand elle a stopper un vide constitutionnel à temps en accomplissant le geste de citoyen et de patriote d’élire les représentants du sommet à la base. Domitille Kiramvu que les gens de Bruxelles et de Liège considèrent depuis quelques jours, alcoolique et droguée n’en reviennent pas. Comment une ancienne journaliste burundais peut vomir en public une haine alors que le métier est très sévère envers ceux qui jouent au sentimentalisme déshonorant?

Comment un média si responsable, Bujumbura news avec des journalistes comme CIRAMUNDA Richard qui se croyait expérimenté, qui se permet d’interviewer les augustes personnalités politiques comment a-t-il laissé passer sur les ondes d’une radio des satanitées d’une folle? Des appels à la haine ethnique, d’appeler les drogués au Burundi dans le but d’accentuer des assassinats politique jusqu’à ne pas épargner la vie d’un président de la république élus démocratiquement au grand jour par un peuple souverain?

Comment ces gens qui crient partout qu’un génocide rampant est en cours au Burundi, ces gens radicaux et sans cœur ni amour peuvent envisager des préparatifs de massacres en commençant sur la vie sacrée d’un président élu par son peuple?

Aujourd’hui comme toujours, le Comité International de Soutien aux Elections Démocratiques et Transparentes au Burundi demande à la communauté internationale et en particulier le gouvernement Belge de prendre en main cette situation avant qu’il ne soit trop tard.

Nous avons à maintes reprises avertis que le média « BUJUMBURA NEWS » qui opère à Bruxelles et sous la responsabilité de CIRAMUNDA Richard opère des actions de sabotage à la paix et au dialogue inter-burundais.

Ce média laisse passer des messages incendiaires qui incitent des gens au génocide au vu et à l’étonnement de tous.
Nous demandons à l’Ambassade du Burundi au près de l’Union Européenne de réagir vite car les propos de KIRAMVU Domitille sont tellement grave pour la sécurité des Burundais, pour la paix et la réconciliation entre les frères et sœurs qui en ont grandement besoin aujourd’hui pour enterrer une fois pour toute la hache de guerre » fratricide qui peut dégénérer à un génocide comme celui de 1972 au Burundi vu la haine et les alliances qui s’annoncent pour faire disparaître le parti au pouvoir à Bujumbura le CNDD-FDD. Je note ici que KIRAMVU Domitille vient de qualifier les adhérents à ce parti comme des « ABAMENJA » des propos incendiaires très graves

A toute fin utile, nous condamnons énergiquement le responsable de Bujumbura news d’avoir oublié les principes qui guident la déontologie journalistique et je profite de l’occasion pour rappeler les devoirs et les droits que les journalistes doivent obéir à la lettre.
Nous avons appris que les devoirs du journaliste sont:

• Le respect de la vérité, quelques qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité.
• Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique
• Publier seulement de l’information dont l’origine est connue et ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et documents
• ne pas user des méthodes déloyales pour obtenir des informations, des photographies et des documents
• S’obliger à respecter la vie privée des personnes
• Rectifier toute information publiée qui se révèle inexacte
• garder le secret professionnel et ne pas divulguer la source des informations obtenues confidentiellement.
• S’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement, ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou des suppressions d’une information
• Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste, et n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs.
• Refuser toute pression et n’accepter de directive rédactionnelle que des responsables de la rédaction.

Espérant que les amis des Burundais vont réagir pour décourager ce genre de propagande honteuse qui nuit à la paix

Veuillez agréer Mesdames, Messieurs mes salutations les plus distinguées.

NIYONGABO Philippe

Journaliste et porte parole.