𝗚𝗼𝗹𝗳 𝗮𝘂 𝗕𝘂𝗿𝘂𝗻𝗱𝗶 : e𝘁 𝘀𝗶 𝗹𝗮 𝗳𝘂𝘁𝘂𝗿𝗲 𝘀𝘁𝗮𝗿 𝗮𝗳𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝗲 𝘃𝗲𝗻𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗕𝘂𝗷𝘂𝗺𝗯𝘂𝗿𝗮 ?

« Pour atteindre la vision du pays dans le sport, nous avons besoin de fédérations bien organisées, de stades performants et bien entretenus, ainsi que de la capacité à accueillir des événements sportifs internationaux », a déclaré Lydia Nsekera.

𝙇𝙚 𝙜𝙤𝙡𝙛 𝙚𝙣𝙛𝙞𝙣 𝙧𝙚𝙘𝙤𝙣𝙣𝙪

La ministre s’est félicitée de l’intégration du golf parmi les sports désormais reconnus au Burundi. Elle a souligné la dimension inclusive de cette discipline, qui réunit filles et garçons dans un cadre à la fois compétitif et éducatif.

𝙐𝙣 𝙥𝙤𝙞𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙙𝙚́𝙥𝙖𝙧𝙩 𝙨𝙩𝙧𝙖𝙩𝙚́𝙜𝙞𝙦𝙪𝙚

Cette visite marque le début d’une tournée nationale d’inspection des infrastructures sportives. Le choix du golf comme point de départ est loin d’être anodin : il illustre la volonté de valoriser des disciplines jusque-là peu visibles.

𝙇𝙚𝙨 𝙙𝙤𝙡𝙚́𝙖𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙖𝙘𝙩𝙚𝙪𝙧𝙨 𝙙𝙪 𝙩𝙚𝙧𝙧𝙖𝙞𝙣

Bruce Olivier Ntwari, président de golf Bujumbura, a profité de l’occasion pour présenter plusieurs revendications :

– Protéger le terrain de golf contre les occupations illégales,
– Le moderniser selon les standards internationaux,
– Soutenir les équipes nationales,
– Faire du golf un outil de diplomatie et de développement touristique.