De toutes les façons, les exilés burundais qui sont allés au Rwanda voisin en période de paix à cause des manipulations depuis avril 2015 doivent retourner vivre tranquille dans leurs maisons au Burundi et les pays de bonne intention devraient les aider sur place chez eux. L’apaisement doit passer par la résolution des différends, aider les gouvernements à quitter la logique de l’intolérance ou de discorde, abandonner le projet de soutien à des insurgés contre un pays démocratique et souverain serait une bonne action surtout entre le Rwanda et le Burundi et décourager le terrorisme de toute sorte dans le monde, aider les gouvernements au respect de la souveraineté territoriale serait une grande priorité en Afrique centrale.
Comment les Burundais pourront-ils retrouver la paix dans un dialogue franc quand personne ne peut condamner le lancement des grenades sur de paisibles citoyens qui n’ont rien à avoir dans un conflit politique au Burundi? Si Burundi 24 ferme son organe d’expression à cause des intimidations en Amérique, où va alors le quatrième pouvoir du journalisme dans le monde quand des nations oublient de résoudre un problème politique depuis sa source ou quand des pays refusent volontairement la vérification des dires des observateurs quand il existe une possible formation militaire de ceux qui vont attaquer le Burundi à partir d’un pays voisin et frère le Rwanda sans respect des règles du haut-commissaire des réfugiés dans le monde .
Pourtant des observateurs Américains avaient dénoncé ce phénomène étrange d’un groupe de jeunes réfugiés burundais qui disparaissent chaque jour dans un camp de Mahama pour suivre des formations militaires. Ces observateurs Américains sont aussi hors la loi?. Si les journalistes crient au scandale est-il une infraction? commentaire d’un journaliste indépendant NIYONGABO Philippe qui s’interroge sur ce communiqué de haut niveau d’une ambassade d’une puissance exceptionnelle dans le monde..
Communiqué de l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique
La Rédaction 25-02-2016
L’Ambassade des États-Unis d’Amérique à Bujumbura a lu avec intérêt l’article intitulé Cibitoke : Une image qui a enterré les dernières illusions des Sindumuja que http://l.facebook.com/l/YAQEEtnEZAQE9ut1Iv_4PyTtBPBvMc4tJmxLz9bmWI35IUA/www.Burundi-24.com a publié le 21 février.
L’ambassade condamne le ton polémique de l’article, ainsi que sa mauvaise et offensive interprétation des déclarations et des actions de responsables américains, y compris le président des États-Unis. Ni le ton ni les déclarations trompeuses ne relèvent des normes internationales généralement reconnues des services de médias libres, indépendants et professionnels.
L’ambassade condamne en outre l’intention apparente de l’article de provoquer des sentiments anti-rwandais, y compris peut-être la violence. À cet égard, l’ambassade note que le Président Nkurunziza a condamné le discours de haine ou de langage violent le 20 février à Cibitoke, ajoutant que les auteurs de ce langage doivent être sanctionnés.
L’ambassade prend note, en outre, que contrairement à l’auteur ou auteurs de l’article, le Président Nkurunziza a affirmé à Cibitoke que tous Burundais, y compris ceux qui ont fui le pays, doivent participer au dialogue politique inclusif concernant le chemin de la paix pour le Burundi. L’affirmation dans l’article que la société civile a déclenché l’insurrection suggère que http://l.facebook.com/l/YAQEEtnEZAQE9ut1Iv_4PyTtBPBvMc4tJmxLz9bmWI35IUA/www.Burundi-24.com estime que tous les éléments de la société civile qui ne partagent pas son point de vue devraient être exclus du dialogue malgré l’appel du Président Nkurunziza pour un dialogue inclusif.
L’ambassade tient à souligner que l’ambassadeur américain au Burundi et l’envoyé spécial des États-Unis sont allés à Cibitoke le 20 février pour exprimer la solidarité continue du gouvernement des États-Unis avec tous les Burundais, indépendamment d’orientation politique, qui cherchent l’occasion d’éduquer et d’élever leurs enfants dans un Burundi sécurisé et pluraliste. L’ambassade exprime le souhait que http://l.facebook.com/l/YAQEEtnEZAQE9ut1Iv_4PyTtBPBvMc4tJmxLz9bmWI35IUA/www.Burundi-24.com est d’accord que cette vision de l’avenir est celle que les Burundais espèrent voir.
L’ambassade a appelé http://l.facebook.com/l/YAQEEtnEZAQE9ut1Iv_4PyTtBPBvMc4tJmxLz9bmWI35IUA/www.Burundi-24.com à publier cette Lettre au rédacteur. Une telle action démontrerait, tout au moins, que http://l.facebook.com/l/YAQEEtnEZAQE9ut1Iv_4PyTtBPBvMc4tJmxLz9bmWI35IUA/www.Burundi-24.com est prêt à admettre de s’être trompé dans les circonstances actuelles. La publication de la Lettre au rédacteur semble être la bonne chose à faire si nous devons conclure, comme le fait l’article, que la victoire doit être celle de la paix et de la réunion des Burundais avec leurs anciens partenaires.
Burundi 24
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Cibitoke: une image qui a enterré les dernières illusions des Sindumuja On se souvient encore du pré…