La Coalition Internationale de la société civile du Burundi et les associations de la Diaspora Burundaises, viennent d’adresser une lettre au Procureur de la Cour Pénale Internationale, Mme Fatou Bensouda suite au message que le Procureur a adressé lettre_au_procureur_de_la_cpi_pdf2-1.pdfaux autorités burundaises en rapport avec la crises qui a suivi le processus électoral de 2015.
Curieusement, le message perçu comme une forme de pression, a coïncide avec la relance des pourparlers voulu par les pays occidentaux prévu du 2 au 6 mai 2016 à Arusha.
La Société Civile du Burundi en partenariat avec la Diaspora Burundaise, interpellent le Procureur Bessounda, qui semble ignorer le pas déjà franchi, de ne pas tomber dans le piège des manipulateurs, selon cette même correspondance que Amahoro Iwacu s’est procuré.
Parmi les membres de la Diaspora Burundaise, c’est la frustration, car le Procureur Bessounda n’a pas évoqué dans son message les crimes qui ont été commise depuis 1972 et que la crise actuelle a une relation directe à ces événements. Selon cette Correspondance adressée au Procureur, la Diaspora Burundaise conseille le Procureur de la CPI à prendre ses précautions dans le traitement du dossier du Burundi hautement sensible, avant de proposer une collaboration étroite pour le bien de son travail.
Anselme Hakiza, Amahoro Iwacu