Gitega New Times a fait une compilation des accusations contre Human Rights Watch (HRW). Parmi les allégations, certaines sont celles de son fondateur Robert L. Bernstein.
Les critiques tombent généralement dans la catégorie des allégations de partialité et corruption. La partialité provient du fait que l’organisation a été influencée et financée par les États-Unis pour dominer le monde, mais ces derniers jours se posent des questions sur la déclaration récente du patron de HRW faisant état des “violations de droits de l’homme au Burundi, mettant ainsi en garde le nouveau Président burundais, Lui-même félicité et encouragé par les Secrétaire général des Nations Unies, les Etats Unis d’Amerique, Union Européenne dont la France, Belgique, Grande Bretagne et Russie, Chine pour rétablissement de la situation sécuritaire au pays et le bon déroulement des élections démocratiques de mai 2020 .
Parmi les allégations déjà connues on citera celles d’Erythrée, Ethiopie, china, gaza Afghanistan, Venezuela, Honduras, Egypte, Bangladesh où par après un tribunal spécial chargé des crimes de guerre menaça de poursuite de HRW par le gouvernement bangladais.
HRW accusée de mauvaises collectes des preuves
« Mauvaises méthodes de recherche des informations et appui aux témoins dont les histoires ne peuvent être vérifiées et qui ainsi, peuvent témoigner pour un avantage politique ou parce qu’ils craignent des représailles de la part de leurs propres dirigeants.” Son fondateur, Robert Bernstein, a accusé l’organisation.
Un exemple typique du Rwanda où les représentants politiques sont portés disparus ou emprisonnés quotidiennement, les rapports de UN mapping classés sans suite, l’avion de l’ancien Président rwandais et burundais abattu jugé comme « trigger du génocide rwandais », le regretté Kizito Mihigo, mais au contraire manifestant volontiers une obsession contre le pouvoir de Gitega. Tout ceci suffit pour prouver que HRW est une organisation politique avec un agenda caché et une main mise se cache derrière tous ces rapports biaisés pour déstabiliser et décrédibiliser tout Etat en voie de développement comme le Burundi qui tente d’émerger coute que coute.
Pour être crédible une organisation des droits de l’homme doit appliquer les mêmes normes de droits humains dans tous les pays.” Ajoute Robert Bernstein. Une soi-disante organisation des droits de l’homme qui “ne pratique pas toujours la transparence, la tolérance et la responsabilité qu’elle demande aux autres perd automatiquement sa valeur.”
Les rapports biaisés sur le Burundi
Au travers son envoyé spécial, Michel Kafando, un burkinabais âgé de 77 ans, ancien Président par intérim après la chute de Blaise Compaoré en 2014, la fameuse [organisation HRW ne ménage aucun effort pour dresser des rapports fabriqués, activement depuis la défaite du mouvement insurrectionnel et coup d’état raté de 2015.
Amnesty International et Human Right Watch remplissent leurs personnels par les anciens militants politiques radicaux et putschistes, les soi-disantes sociétés civiles accusées d’instigations des violences, vandalisme, mutilation et lynchage de tout [citant un] présumé ” imbonerakure jeune militant du parti au pouvoir. [L’exemple le plus eloquent de leurs actes ignobles fut le jeune imbonerakure ] brulé vif en commune urbaine de Nyakabiga (Bujumbura) dont les mandats d’arrêts internationaux ont été émis, qui, à ce jour restent sans effets. Toutes ces organisations gardent bouche-bée face à cette barbarie orchestrée en 2015 par ce mouvement insurrectionnel et continue d’accuser le gouvernement du Burundi qui se donne corps et âme pour ramener l’ordre dans tout le pays.
“Théoriquement, une organisation comme HRW ne choisirait pas comme ses chercheurs des personnes qui sont si évidemment d’un côté de mutilation et d’oppression et permettre aux régimes vraiment répressifs de jouer un « jeu d’équivalence morale » ce qui constitue une distraction dangereuse de la lutte réelle”. S’étonne le fondateur de HRW.
HRW a “compromis sa neutralité”
Pour satisfaire ses sponsors budgétaires, HRW fournit des rapports trompeurs et erronés même après rétablissement de situation sécuritaire et installation de nouvelles institutions burundaises.
Gitega New Times fait une analyse des rapports de HRW, les tweets de Kenneth Roth depuis 2015 passant du 3eme mandat du Feu SE Pierre Nkurunziza, le référendum constitutionnel génocide fictif à la mise en garde et menace à l’égard du nouveau gouvernement burundais. Ce qui laisse mille et une questions au sein des analystes de la région des Grands Lacs.
« Une harmonie et paix qui ont caractérisé la période post mortem de l’ex-Président Pierre Nkurunziza, les élections démocratiques et accalmie totale post-électorale témoignent d’une maturité politique du peuple burundais, rarement vécue en Afrique », déclare un expert régional.
Le récent rapport de Human Rights Watch (HRW) du mai 2020, semble mettre en garde le nouveau gouvernement burundais, tout en ignorant délibérément de reconnaitre une nouvelle ère politique et lettres de félicitations de tous les Etats membres des Nations Unis pour le repositionnement du Burundi à la place qu’il mérite.
La diplomatie burundaise à New York, n’a ménagé aucun effort pour faire comprendre au monde les enjeux réels de la crise burundaise et a voulu que Kenneth Roth reconnaisse ce niveau d’engagement du gouvernement pour le bien-être de toute sa population sans discrimination.