Cette société, qui avait introduit en février 2017 une requête pour l’exploitation de ce gisement, a finalement été agréée en septembre dernier par les autorités minières burundaises.
En effet, les autorités minières burundaises estiment qu’étant donné que c’est la première mine d’or à entrer en exploitation industrielle dans le pays, que le Burundi pourra en tirer des « dividendes importantes », notamment en termes de retombées économiques et financières au niveau du trésor public.
Xinhua