En autorisant l’ouverture de l’enquête au Burundi les juges de la CPI ont été mal inspirés et probablement piégés par l’un ou l’autre décideur Européen, agissant pour ses intérêts particuliers. Quelqu’un y est corrompu.
A quoi peut on s’attendre ?
1. A une grande fermeté de la part des autorités burundaises qui ,à l’instar de celles du Rwanda, en pareilles circonstances, répondraient du tic au tac s’il arrivait qu’un des leurs soit même seulement inquiété. Exemple vous inquiétez un de nos cadres en mission, nous arrêtons et molestons un des votre quel que soit son rang.
2. La plupart de pays Africains qui admirent déjà le courage du Burundi, sortiront en bloc de cette CPI corrompue et dépendante des intérêts privés.
3. Durcissement de la position des autorités burundaises à l’égard de l’opposition radicale dont le rôle de salir le Burundi est connu. Fini probablement les espoirs du dialogue externe cher à certains.
4 . L’Europe déjà en crise économique ,risque de se voir privée de marchés burundais et africains par rapport aux pays émergeant, voire des USA qui adoptent une attitude plus réfléchie
5 Des citoyens Européens pénalisés suite aux mauvais choix de leurs dirigeants, comme c’est le cas dans la lutte anti-terroriste et présentement dans le cas du Burundi, ces citoyens EU pourraient se révolter.
6. Enfin, connaissant le réalisme des Occidentaux, ils vont négocier un compromis dynamique avec les autorités en place au Burundi, suite au constat que malgré tout, les radicaux burundais sont loin de prendre le pouvoir.
Lu pour vous,
La rédaction