Il existe au Burundi d’énormes opportunités d’affaires dans les domaines de l’agriculture, l’élevage, l’énergie, les TICs, les mines, la pêche, le transport, le commerce, l’industrie, la santé, l’éducation, etc., a dit le chef de l’Etat.
Situé entre la RDC et la Tanzanie, pays plus grands et plus peuplés, le Burundi dispose également de nombreuses ressources naturelles.
Les pays africains ont toujours eu les regards tournés vers l’extérieur. Rares sont les pays africains qui ont pu développer un partenariat solide et durable en matière d’investissement, maintenant, c’est le moment de promouvoir la coopération sud-sud.
Le chef de l’Etat Evariste Ndayishimiye a invité les hommes d’affaires nigérians à installer leurs industries au Burundi. Le pays continue à fournir des efforts à travers des dispositions incitatives pour favoriser un climat d’affaires propice aux investissements, et a mis en place un code des investissements qui offre des facilités aux investisseurs, pour les entreprises locales, étrangères ou à capitaux mixtes.
Pour la ministre Marie Chantal Nijimbere, autant le rôle du secteur public est crucial en matière d’infrastructures et de développement des cadres légaux, autant le secteur privé est vecteur déterminant du développement.
La ministre en charge du Commerce, de l’industrie et du tourisme a signalé que le Burundi présente un atout majeur d’appartenir à différentes communautés économiques comme la CEEAC, l’EAC, le COMESA, et fait donc partie d’un marché très étendu.
Le secrétaire général de la Chambre fédérale de Commerce et d’industrie du Burundi CFCIB, Olivier Suguru a quant à lui émis le souhait que les résultats de ce premier sommet d’affaires Nigeria- Burundi soient mis en œuvre.