Les refugiés burundais continuent de rentrer au grand dam de nos détracteurs ( Photo : Pacelli Sindaruhuka  2017 )‏Si sur le plan religieux, la semaine dernière a été marquée par la célébration de la fête de la Toussaint, sur le plan sociopolitique, elle a été marquée par un autre événement que l’on ne saurait passer sous silence. Il s’agit du retour, à partir de la Tanzanie, de 599 réfugiés burundais qui, de leur plein gré, ont décidé de regagner leur pays natal, s’ajoutant ainsi à de nombreux autres Burundais qui, encouragés et rassurés par l’évolution positive de la situation, ont choisi de rentrer au pays pour participer à l’effort collectif de consolidation de la paix et de la sécurité, d’édification de la société burundaise sur tous les plans. Le mouvement de retour volontaire des réfugiés se poursuit donc normalement et régulièrement, le Burundi étant un pays où les gens vaquent librement, de jour comme de nuit, à leurs activités diverses, où des séminaires internationaux se déroulent en toute sérénité, où toutes les délégations étrangères qui l’ont déjà visité pour s’enquérir de la situation de paix et de sécurité qui y prévaut, ont, avant de regagner leurs pays respectifs, noté avec satisfaction les acquis déjà obtenus en matière sociopolitique.Si sur le plan religieux, la semaine dernière a été marquée par la célébration de la fête de la Toussaint, sur le plan sociopolitique, elle a été marquée par un autre événement que l’on ne saurait passer sous silence. Il s’agit du retour, à partir de la Tanzanie, de 599 réfugiés burundais qui, de leur plein gré, ont décidé de regagner leur pays natal, s’ajoutant ainsi à de nombreux autres Burundais qui, encouragés et rassurés par l’évolution positive de la situation, ont choisi de rentrer au pays pour participer à l’effort collectif de consolidation de la paix et de la sécurité, d’édification de la société burundaise sur tous les plans. Le mouvement de retour volontaire des réfugiés se poursuit donc normalement et régulièrement, le Burundi étant un pays où les gens vaquent librement, de jour comme de nuit, à leurs activités diverses, où des séminaires internationaux se déroulent en toute sérénité, où toutes les délégations étrangères qui l’ont déjà visité pour s’enquérir de la situation de paix et de sécurité qui y prévaut, ont, avant de regagner leurs pays respectifs, noté avec satisfaction les acquis déjà obtenus en matière sociopolitique.Nous ne pouvons donc que nous réjouir du mouvement de retour volontaire des réfugiés burundais, y compris certains responsables politiques, en attendant l’arrivée d’autres concitoyens encore prisonniers des rumeurs les plus folles sur le Burundi, propagées par les experts de la manipulation et de la déstabilisation dont les rapports mensongers et insultants sont régulièrement et vigoureusement dénoncés par le gouvernement et le peuple burundais, réaffirmant ainsi leur détermination à combattre les ennemis de la paix et de la sécurité au Burundi, qui n’attendent qu’un signe pour se jeter sur une proie tant convoitée. C’est tout simplement scandaleux le parti pris haineux manifesté par les légionnaires de la plume recrutés et dépêchés par certains milieux européens que le peuple burundais, jouissant pleinement de la paix et de la sécurité, met au défi de lui prouver l’honnêteté des rapports échafaudés à partir des témoignages des déstabilisateurs de la société burundaise et de leur complices, qui ont tout fait pour mystifier une partie de l’opinion mondiale, celle occidentale notamment. Disons-le et redisons-le tout de suite, l’indignation du peuple burundais restera encore entière devant des rapports mensongers, insultants d’où qu’ils viennent. Dans ce combat qui est celui de tous les Burundais désireux de vivre dans la paix et la sécurité, nous sommes constamment appelés à assurer toujours au gouvernement du Burundi, de tout l’appui nécessaire et solide, fermement convaincus que c’est nous les principales victimes de la manipulation de l’opinion internationale. Que nous payions très cher leurs sales et basses manœuvres, voilà qui est le cadet de leur souci. C’est dire que le commandement de l’heure est d’être vigilants mais sereins, et de nous interdire de faire leur jeu en demeurant toujours profondément attachés à l’œuvre d’édification nationale dans l’unité, la paix, la sécurité, la démocratie sans cesse consolidées.A tous les réfugiés qui regagnent leur pays natal, nous disons que le combat mené contre les champions du mensonge est également le leur, en se disant que plus rien ne sera comme avant, si chaque Burundais, dans ses actes et sa façon de servir le pays, épouse les choix de toute la communauté nationale.
SOURCE : Louis Kamwenubusa – http://ppbdi.com/index.php/ubum/imibano/9-actualite/8582-editorial-les-refugies-burundais-continuent-de-rentrer-au-grand-dam-de-nos-detracteurs