Celles et ceux qui, nombreux, ont déjà suivi les séances de moralisation de la société burundaise présidées et animées par le chef de l’Etat Pierre Nkurunziza ont certainement compris que le contenu de cette activité s’inscrit dans la droite ligne du thème central de l’année nouvelle 2018, tel que développé dans son récent message des vœux de Nouvel An.
Ce ne sont ni les natifs de la province de Muyinga, ni ceux de la province de Kayanza, ni ceux de la province de Ngozi, qui nous contrediraient, eux qui viennent de bénéficier des séances de moralisation. Initiées par le président de la République lui-même, les séances de moralisation de la société burundaise se poursuivent à travers le pays à l’entière satisfaction des participants qui, à l’issue des séances, affirment avoir reçu beaucoup d’enseignements utiles sur les valeurs citoyennes qui doivent être les nôtres.
Celles et ceux qui, nombreux, ont déjà suivi les séances de moralisation de la société burundaise présidées et animées par le chef de l’Etat Pierre Nkurunziza ont certainement compris que le contenu de cette activité s’inscrit dans la droite ligne du thème central de l’année nouvelle 2018, tel que développé dans son récent message des vœux de Nouvel An.
Ce ne sont ni les natifs de la province de Muyinga, ni ceux de la province de Kayanza, ni ceux de la province de Ngozi, qui nous contrediraient, eux qui viennent de bénéficier des séances de moralisation. Initiées par le président de la République lui-même, les séances de moralisation de la société burundaise se poursuivent à travers le pays à l’entière satisfaction des participants qui, à l’issue des séances, affirment avoir reçu beaucoup d’enseignements utiles sur les valeurs citoyennes qui doivent être les nôtres.
Il nous plaît, encore une fois, de rappeler, dans cet éditorial, ce thème central qui était la pièce maîtresse du message présidentiel des vœux de Nouvel An, et dont nous tirerons jusqu’en 2019, toute l’inspiration nécessaire à notre bonne conduite. Il est ainsi résumé : « Méditons profondément sur notre pays, sachons d’où nous venons et où nous allons ». Qu’il nous soit autorisé d’indiquer qu’entre le thème central du message des vœux présidentiels et les séances de moralisation de la société burundaise, la ligne est droite ! Cette ligne droite s’appelle l’amour de la patrie, ce champ commun que Dieu nous a donné pour le gérer en communauté, ce don extraordinaire sur lequel tout Burundais doit tenir fixée son attention, car devant être entretenu et protégé nuit et jour, en tout et partout, comme l’a souligné le président de la République Pierre Nkurunziza, en s’adressant récemment à la nation, dans le cadre des vœux de Nouvel An 2018.
Revenons sur le lien solide à établir logiquement entre le thème central de la nouvelle année 2018 et les séances de moralisation régulièrement animées par le Chef de l’Etat en faveur de la société burundaise que nous sommes appelés à édifier, profondément attachés à notre histoire, à notre langue, à notre culture et à nos traditions millénaires. C’est dire que nous devons jalousement aimer le Burundi, legs de nos ancêtres, car nos enfants et nos petits enfants ne nous pardonneraient pas, s’ils héritaient d’un pays mal aimé, un pays mal servi, dépossédé de son indépendance et de sa souveraineté, un pays à la merci de ses détracteurs. Constituons, comme nous l’a conseillé le chef de l’Etat dans son récent message des vœux de Nouvel An, un front infranchissable et disons non à tous ceux qui nourrissent l’ambition de nous usurper notre indépendance, notre souveraineté et de détruire notre unité pour nous replonger dans un passé dont nous garderons toujours un amer souvenir.
Ayons toujours à l’esprit que nous nous sommes réveillés d’une longue et douloureuse nuit coloniale cauchemardesque qui donna lieu à des dates de triste mémoire qui ont comme noms 1965, 1972,1988 et 1993. Connaissant aujourd’hui, l’origine des maux qui l’ont accablé par le passé, le peuple burundais ne peut que se lever comme un seul homme pour dire à ses détracteurs que son choix est celui de la paix et qu’il s’y tiendra.
Louis Kamwenubusa