BUJUMBURA, 28/06/2018 – M. Martin Nivyabandi, ministre burundais des Droits de la Personne Humaine, a condamné le contenu du « rapport oral »[ https://news.un.org/fr/audio/2018/06/1017602 ] de la commission d’enquête de l’ONU sur les droits de l’homme au Burundi, présenté mercredi 27/06/2018 à Genève devant le Conseil ONU des droits de l’homme, par le Sénégalais Doudou Diène, qui poursuit la Guerre Humanitaire contre le Burundi, initiée par les Occidentaux. Réponse du Burundi à Genève : https://www.burundi-forum.org/wp/la-une/actualites/declaration-de-lambassadeur-representant-permanent-de-republique-burundi-a-geneve-date-27-juin-2018-a-loccasion-dialogue-interactif-commission-denqu/
Historiquement, le Sénégal a été un pays de NEGRIERS NOIRS pendant l’Esclavage. Dans le Livre « PROPRIÉTAIRES D’ESCLAVES EN 1848 Martinique, Guyane, Saint-Barthélemy, Sénégal », Mme Inez Fisher-Blanchet, et M. Oruno Lara, mettent en exergue un tableau avec les noms des SENEGALAIS -NEGRIERS-qui ont été PROPRIETAIRES D’ESCLAVES EN 1848. Une grande majorité de ces familles Sénégalaises NEGRIERES ont été propulsées pendant la COLONISATION par la FRANCE. Après l’indépendance du Sénégal le 20 août 1960, ces familles sont restées en SERVICE pour la FRANCAFRIQUE et aujourd’hui, avec le NEOCOLONIALISME, ce sont les petits enfants de ces derniers, qui occupent, pour la plupart, des postes dans les instances internationaux ( ONU, FMI, BANQUE MONDIALE, OMC etc. ) comme des alliés indéfectibles de la France.
Le paradoxe est de voir ces petits fils de NEGRIERS entrain de défendre LES DROITS DE L’HOMME ... Ce que ressentent certains Sénégalais quand il voit un Africain ou un Burundais, c’est le regard qu’avait le NEGRIER SENEGALAIS vis à vis de son ESCLAVE NOIR… Voilà pourquoi le SENEGAL est un pays divisé en DEUX. Ainsi avec une partie du SENEGAL, il est impossible de mener des luttes PANAFRICANISTES pour bâtir l’ Union Africaine.
SOURCE : NAHIMANA P.