Je sais que l’objet de mon article ne fera pas l’unanimité et que des gens vont désapprouver le moyen que j’utilise pour solliciter l’aide de toute personne susceptible d’aider à trouver la meilleure façon de mettre un terme aux pratiques de Mr Nshimirimana Vital, qui ne fait qu’utiliser l’argent qu’il reçoit généreusement par la Communauté internationale pour surtout entrainer de jeunes étudiantes dans des lieux de débauche ici dans la Capitale burundaise.
« Si ma jeune sœur n’était pas concernée par cette affaire déshonorante, peut être que j’aurais été indifférent comme tant d’autres citoyens burundais qui assistent aussi à la dépravation des mœurs sans réagir voire en trouvant la situation normale » me racontait le frère de cette victime sexuelle de Mr Nshimirimana.
Disait-il, ma jeune sœur a été prise pour cible par Mr Nshimirimana Vital et la traine les samedis dans un lieu de débauche au lieu de la laisser se concentrer sur sa scolarité, nos parents sont loin de se douter que l’avenir de leur enfant est de plus en plus compromis par cet homme sans foi ni loi. Au moment où j’écris ce billet, je sais qu’un autre rendez-vous a été fixé à la fille en question pour aller le rencontrer au même lieu de débauche samedi prochain.
Dans l’affaire Mbonimpa, Mr Nshimirimana Vital disait souvent que « le Gouvernement devrait s’atteler à résoudre les problèmes du pays » ; pourtant ledit frère a cru bien faire en approchant en toute discrétion, vue que l’affaire est très gênante pour tous, certaines autorités pour qu’elles l’aident dans sa détresse et on lui a répondu qu’étant donné déjà l’affaire pendante de Mr Mbonimpa, si un dossier est ouvert pour mœurs contre ce délégué Général du FORSC on va encore dire que le Gouvernement du Burundi est encore en train de brimer les responsables de la société civile burundaise, qu’encore une fois au Burundi on rétrécit d’avantage l’espace public, que les responsables de la société civiles sont trainés dans la boue à longueur de journée, que pour cela les élections de 2015 risquent de ne pas se passer dans un climat apaisé et que dès lors quand bien même ils sont au courant ils sont obligés de ne pas poursuivre les investigations contre le Monsieur « société civile » car il est sous l’aile protectrice de la Communauté internationale.
Pourtant dans la déclaration universelle des droits de l’homme, les droits des enfants et des jeunes y sont gravés en lettres d’or. Il est vraiment navrant de voir que ceux qui crient plus fort que tout le monde, que les droits de l’homme ne doivent en aucune circonstance être bafoués, sont ceux-là mêmes qui dans les lieux obscurs commettent les faits les plus dégradants et les plus répréhensibles par la société en général et par le droit tant interne qu’international.
J’ai lu que son prédécesseur lui a été décerné le palme du déshonneur, à Mr. Vital Nshimirimana le palme de la débauche, s’il ne s’arrête pas devrait lui être décerné. Au cas où il viendrait à contester la véracité de mes propos, je vais donner les éléments de preuve que j’ai à ma possession à sa femme et peut être qu’elle au moins elle arrivera à le dissuader.
Bigirimana Damas