Domitille Kiramvu, est revenue sur son passé doulereux, un passé rempli de beaucoup de haine et de rage envers les hutu. Depuis qu’elle est demandeuse d’asile en Belgique, elle ne fait que boire. Étant donné que la Belgique compte plus de 600 sortes de bière, avec ses soucis de santé, Kiramvu a bien trouvé refuge dans l’alcoolisme. Dès qu’elle a déjà pris sa dose du jour, elle commence à râler en déversant sa haine viscérale sur le pouvoir du peuple Burundi et sur les hutu.
Cette insolente femme dont le comportement est assimilable à celui d’Inarunyonga, n’est pas inconnue dans la sphère médiatique burundaise, elle était la vedette dans les quartiers des insurgés à Bujumbura pour ses dires nauséabonds à la fameuse radio RPA. Elle n’arrêtait pas de charger de tous les maux le gouvernement de Pierre Nkurunziza depuis à peu près 2007. Actuellement plus d’un se demandent jusqu’où ira Domitille Kiramvu avec ses délires qu’elle déverse sur les réseaux sociaux.
Au lieu de se faire soigner, elle préfère passer le reste de sa vie à vilipender le gouvernement du Burundi et le parti CNDD-FDD. Si son cerveau est encore intact, ce qu’on doute fort, elle devait se souvenir qu’elle était en 1993 parmi les journalistes tutsi qui encourageaient les militaires à prendre les armes et à reprendre le pouvoir que Pierre Buyoya avait donné en cadeau aux hutu, disaient-ils. Elle devrait aussi savoir que les temps ont changé. Qu’on est plus vers les années 1995, quand elle était journaliste à la radio nationale du Burundi où c’était possible de s’en prendre verbalement à ses collègues journalistes hutu jusqu’à comploter leur élimination physique.
Nos pensées vont particulièrement à nos meilleurs journalistes hutu du pays assassinés sous les applaudissements des Kiramvu, comme Alexis Bandyatuyaga arrêté et exécuté en septembre 1994 et Pamphile Simbizi qui était chef de service francophone de radio nationale, donc chef direct de Domitile Kiramvu. Tout le monde sait les propos de Kiramvu à cette époque, où elle évoquait sans cesse son souhait de voir la tête de Simbizi décapitée parce qu’elle en avait marre d’avoir un chef hutu. Chose voulue, chose faite, Pamphile Simbizi est retrouvé égorgé et criblé de balles à Gasenyi en juin1995 à Gasenyi (kamenge). Dieu seul sait l’extase de joie de Kiramvu après avoir appris la mort d’Alexis Bandyatuyaga et de Pamphile Simbizi. Dieu seul sait ce que cette horrible femme est capable de sortir de sa bouche. Si elle pouvait attendre un peu pour que son passé la rattrape pleinement, tel serait le souhait de ce qu’elle a fait du mal.
Dr. Martin Birori