Objet : Constatations outrancières sur un pays souverain dans le monde

Comité International de Soutien Aux Elections Démocratiques et Transparentes au Burundi en 2020.
Journaliste Indépendant et porte parole du Comité
 
A l’attention de Marie France Cros journaliste de la libre Belgique
 
En effet, je suis porte parole d’un comité de soutien aux élections démocratiques et transparentes au Burundi. La naissance de ce comité vient de quelques principes. Notre détermination vient de la crise de 2015 sur le Burundi où nous avons assisté à une crise politique devenue violente dans ce pays. En effet dans le but de nous justifier, notre comité est témoin de la naissance d’une rébellion sans nom qui a commencé le 03 mai 2015 dans les bureaux du parlement européen à l’époque dirigé par Louis Michel et je peux facilement affirmer qu’il a échoué à sa mission de réconcilier l’Afrique centrale par ce principe de diviser pour régner.
Dans le but de vous faire le parcours de ces événements regrettables au Burundi, Le comité est témoin de la naissance d’une rébellion sans nom qui a commencé le 03 mai 2015 dans les bureaux du Parlement européen dirigé à l’époque par Louis Michel et il a échoué en tant que spécialiste de l’Afrique centrale.
Il a échoué pourquoi ? Car en date du 17 avril 2015 des manifestations très violentes ont commencé d’une grande gravité entre des groupes drogués et la police burundaise selon les images à notre disposition journalistique et personne n’a fait un clin d’œil préventif pour décourager ces folies et montages politiciennes.
 
Ayant moi-même participé dans un colloque du 03 mai 2015 organisé dans ces enceintes du parlement européen dirigées par Louis Michel dans l’espoir de trouver les moyens et les outils pacifiques dans un but précis de stopper les violences au Burundi, des individus que vous reconnaissez aujourd’hui appartenir à des fractions rebelles sont parvenus à une fin fatale  de guerre ouverte qui fait répondre à une probable répression des forces de l’ordre face à une manifestation virulente (une violence égale) dans un langage équivoque que nous observons aujourd’hui dans la création des violences au Burundi contraire à la logique démocratique. Des Rebelles Red Tabara, Forebu qui n’arriveront à rien dans la logique actuelle de déstabilisation au Burundi.
 
Comme vous venez de publier un article du 27 décembre 2019 semblable à la réaction des gens en 2015 avec cette doute je cite « Burundi : la présidentielle de 2020 aura-t-elle lieu ? Les violences dans les manifestations de 2015 avec les réactions semblables des radicaux burundais en 2019 qui vous inspirent la rédaction des récits obscurs. Nkurunziza va-t-il permettre des élections transparentes au Burundi ? En 2020 Nkurunziza deviendra le roi Ntare Rushatsi et ne cédera pas le pouvoir à un autre selon votre version Marie-France Cros. Dans vos trois points principaux (un pays sous la terreur, les Burundiais meurent en silence, les trahisons par ses proches collaborateurs, le CNL un parti fort au Burundi de Rwasa dans le collimateur, et la question que ces scrutins auront-ils lieu ? La Guerre viendra peut-être et qui dit guerre arrive le président ne quitte jamais sans étouffer cette guerre imposée par principe. Les gens qui préparent les guerres sont contre la démocratie en général.
 
Notre objectif malgré votre esprit de déstabiliser le Burundi est de soutenir le processus de la démocratie en soutenant la souveraineté du pays. Comme les pays sont organisés souverainement, le Burundi ne fait jamais exception .
Nous avons beaucoup de chose à dire dans ce métier des journalistes dans un but précis d’éducation politique, d’orientation vers la paix et la réconciliation mais surtout pas dans votre façon partisane de dénigrer les dirigeants des pays qui ont une constitution souveraine. Vous avez parlé d’un président du Burundi fantoche alors que la cour constitutionnelle en 2015 du Burundi avait donné l’avis favorable à ce processus. Vous oubliez même que les instances habilités en Afrique centrale (EAC) vont dans le même sens mais dans un objectif de nuisance d’un pays africain que vous haïssez savamment, vous parlez d’un président fantoche dans ce pays le Burundi qui va terminer aisément son mandat présidentiel dans la paix avec une nouvelle constitution voté officiellement et approuvée officiellement par le peuple burundais souverain dans le but de bien faire les élections en 2020.
 
Sans discourir, nous implorons de votre penchant une demande de pardon au peuple burundais que vous venez d’insulter.
A ce qui nous concerne, nous promettons de perpétuer notre combat dans le but de consolider la paix et le soutien démocratique au peuple burundais.
 
Fait en Belgique le 29/12/2019
 
A Charleroi.
E-mail :pniyongabo@hotmail.com 
NIYONGABO Philippe
Porte parole.
Marie-France Cros de Libre Belgique Photo : http://reveil-fm.com