FRANCE ET BELGIQUE CHERCHENT DESESPEREMENT A COMMETTRE UN GENOCIDE AU BURUNDI

Source: burundiindependant.com

Le Cnared, cheval de Troye de la Belgique et de la France au Burundi est cliniquement mort, mais ces pays le maintiennent artificiellement en vie, attaché à leurs bombonnes à oxygène financières, pour l’agiter périodiquement comme menace contre le gouvernement du Burundi. Nous avons vu dernièrement comment les vestiges de ce mouvement ont été remis ensemble pour une semaine, nourris, réchauffés, mais sans résultats. Ce qui compte pour l’Europe, c’est de faire semblant d’avoir en mains un opposant redoutable, un obus prêt à être lancé. En réalité, les membres du cnared sont des poupées emmanchées par quelque jongleur européen, qui les utilise au théâtre des marionnettes et au jeu des ombres pour effrayer Bujumbura.

C’est de là que nait cette absurde théorie du génocide des tutsi : une espèce de récitation dégoutante, répétitive à la nausée, comme les sons d’un disque abrasé. Bien entendu c’est la France et la Belgique qui récitent en agitant des doigts les membres du cnared. Toutefois, si le corps Cnared est mort, ses composants restent pleins de venin comme les dents de serpents ; ils ne sont pas passifs, tout au contraire. Ils coopèrent avec l’Europe, parce qu’ils veulent créer une espèce de symbiose, où l’un vivra en profitant de l’autre et viceversa. Pour y arriver, ils veulent EXTERMINER les populations qui vivent sur le territoire,Hutu et Tutsi, pour les substituer avec des gens qui leur seront soumis, probablement d’origine rwandaise, comme a fait Kagame entre 1990 et 1994. L’agitation du génocide des tutsi n’est pas inspirée par l’amour envers les tutsi, comme l’extrémisme islamique de Al Qaeda n’épargne pas les populations musulmanes ; au contraire, elles sont les premières victimes, leurs nations sont devenues des cimetières, et les villes, des ruines.

Pourquoi donc cette nervosité et acharnement de la Belgique et de la France contre le Burundi, qu’elles n’ont même plus la pudeur de cacher ? Les raisons sont géopolitiques. Le Burundi est le dernier pied à terre que la Belgique et la France ont en Afrique Centrale, depuis que la RDC et le Rwanda sont devenus la chasse gardée des américains en 1994 et en 1996 à travers Kagame. Or, pour avoir au moins les miettes sur le festin minier congolais, il faut être assis dans les environs. Le Burundi précisément. On ne s’étonne donc pas que le président Hollande ait parcouru l’Afrique en 2015 à ne parler que du Burundi ; l’ambassadeur français à l’ONU qui n’a d’autre travail que de présenter des résolutions sur le Burundi ; la UN Human Rights de Génève, qui semble ne connaitre dans le monde que le Burundi, et produit des rapports mensongers en haute fréquence, sous la pression de la France et de la Belgique, dans lesquels elles (France et Belgique) disent « craindre un génocide », une litote pour dire en réalité qu’elles « souhaitent ardemment un génocide » au Burundi. C’est en fait l’unique voie que ces pays envisagent pour arriver à recoloniser le Burundi, puisqu’ils ont échoué avec la rue, le coup d’état et trois rébellions armées. A ces tentacules de la galaxie francobelge, nous ajoutons le journaliste de Deutsche Welle, Eric Topona (qui veut dire ‘gros rat’, isiha… izina ni ryo muntu) placé là expressément pour concourir à la démolition de l’image du Burundi.

Voilà donc le but de cette propagande sur le génocide relayé par le cnared et en particulier par l’aile Sinduhije, les Sindumuja : accéder au pouvoir avec l’aide de la France et de la Belgique pour servir les occidentaux, après avoir massacré les habitants du Burundi. C’est dans cette optique que les activistes de Sinduhije ont déjà dressé et publié des listes de personnes à abattre . C’est aussi le but des rapports bidons, invraisemblables, biaisés, produits par de faux experts des Nations Unis et de HRW, qui passent de beaux jours aux bords du lac Tanganyika en douce compagnie des membres de l’opposition radicale. Ils cherchent des prétextes pour désarçonner du pouvoir l’équipe actuelle, élue et soutenue par la population. Pour laver l’affront de leurs échecs, et arriver à leur fin, A LA FRANCE ET A LA BELGIQUE, IL FAUT UN GENOCIDE. Nous ne le leur offrirons pas.