Depuis fin 2010, de grandes multinationales américaines et européennes ont mis en place une structure pour chasser le CNDD-FDD du pouvoir à Bujumbura.
Des politiciens, des journalistes, des activistes de la société civile, des banquiers, des militaires et policiers ont été approchés. Le point focal était le belge Louis Michel.
En chef d’orchestre, il a mené cette lutte acharnée mais aujourd’hui les multinationales ont fait un constat amer: Après plus de 7 ans, le président NKURUNZIZA et son CNDD-FDD sont toujours en place malgré les stratégies et les énormes flux financiers misent à leur disposition.
C’est tout juste avant la présentation du rapport de la commission des droits de l’homme des nations Unies à Genève que les multinationales ont confirmé le retrait de leur confiance au député européen.
L’opposition burundaise en exil et surtout les activistes et journalistes en exil perd un grand soutien. On ne sait pas encore qui est le nouvel élu des multinationales aujourd’hui.
24 septembre 2017 par veritasburundi