* Retrouvez cette émission en Replay sur
http://bit.ly/1nTsryz
Les invités attendus:
Jean MINANA – Ancien Président de l’Assemblée Nationale – Burundi
Christien Nina NYONSAVYE- Ambassadeur du Burundi
Vivien MANANGOU- Juriste- République du Congo
« Dans le cas du Burundi, nous sommes dans une situation de violation de droit de souveraineté de la part des Nations Unies, de la CPI ».
Jean Bernard BIKIME
LA REACTION DE L’AMB. WILLY NYAMITWE (CONSEILLER DU PRESIDENT DU BURUNDI) :
@willynyamitwe
“Oh! Quelle introduction biaisée! Cette subjectivité évidente est une épine à l’éthique et à la déontologie journalistique. Hier j’ai dit au journaliste de @A24Polititia que certains médias sont engagés dans une logique de médisance contre le #Burundi.“
Il réagissait à la présentation de l’émission :
« Le gouvernement prépare un référendum en vue d’une révision de la Constitution qui devrait permettre notamment au président Pierre Nkurunziza de rester au pouvoir jusqu’au moins en 2034. #Polititia dès 15H GMT, vous propose un focus sur la crise »…
QUE DIT L’AMBASSADRICE CHRISTINE NINA NIYONSAVYE :
« On ne peut pardonner que celui qui demande pardon. Le président l’a dit, tous ceux qui demanderont pardon seront pardonnés et reviendront construire le pays ».
« Pour un déploiement des forces de maintien de la paix, il faut que le pays le demande. Et ça n’a pas été le cas. On a voulu nous imposer une force de maintien de l’ordre. Nous n’avions rien demandé. Ce refus n’était que la volonté du peuple ».
« Et j’insiste, les élections de 2015 se sont passées de façon régulière ».
« Les burundais vont devoir cotiser de leur argent pour la tenue des prochaines élections. Tout ceci parce que le pays ne veut plus dépendre de l’aide extérieure ».
« Il y a des gens qui sont juste figés sur le fait que le président veut se maintenir au pouvoir. pourtant ce n’est pas le cas ».
« On ne peut pas discuter ou négocier avec des putschistes… On ne peut pas ».
« J’ai toujours préféré le dialogue car au Burundi on ne parle qu’une seule langue, le Kirundi. Nous nous comprenons tous ».
« Le dialogue se fait entre deux parties qui s’aiment, qui se comprennent et qui ne restent pas campés sur leurs positions ».
« Cinq ans pour un mandat présidentiel c’est trop court. Sept ans c’est plus ou moins raisonnable pour un mandat présidentiel ».
« Organiser des élections ça coûte énormément d’argent. La plupart des burundais a dû puiser dans leurs revenus pour qu’on puisse mener à bien ces élections ».
« Bien sûr qu’il y a eu des morts, on le reconnaît et on le regrette. Mais qui a tué qui? On veut toujours dire que c’est le gouvernement qui tué pourtant ce n’est pas vrai ».
« Dès qu’on parle de crise, la population prennent leurs affaires et s’en vont. On parle de ceux qui sont partis du pays mais on parle moins de ceux qui sont revenus ».
« Il n’y a pas de crise au Burundi. Uniquement dans la tête de certaines personnes ».
« Le changement de la constitution est quelque chose de tout à fait normal dans un pays ».
« Je représente tous les burundais. donc ce que je vais dire, je le dis pour tous les burundais ».
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