Il arrive souvent que certains individus et associations utilisent le terme « conflit » pour servir leurs propres intérêts, même lorsque la situation ne correspond pas à cette définition. Cette utilisation abusive du terme peut causer de nombreux problèmes, notamment des malentendus et des dommages à la réputation du pays. Il est donc de la responsabilité de chacun de dénoncer ces abus et de promouvoir une utilisation précise et appropriée du terme « conflit ».
Certaines associations, en particulier celles nées en période de conflit, continuent à utiliser le terme « conflit » dans leur nom, même lorsque la situation n’est plus conflictuelle. Cela peut être trompeur et peut donner l’impression que le pays est toujours en conflit, alors que ce n’est pas le cas. Cette utilisation abusive du terme « conflit » peut nuire à la réputation du pays et décourager les investisseurs et les touristes.
Il est important de souligner que l’utilisation abusive du terme « conflit » pour servir des intérêts personnels ne doit pas être tolérée. Les médias, les autorités et les associations ont un rôle important à jouer dans ce domaine, en veillant à ce que les termes utilisés pour décrire les situations soient appropriés et justes.
Il est également important que les associations concernées réfléchissent à un changement de nom qui reflète mieux la réalité de la situation. Un nom plus approprié pourrait aider à promouvoir une image plus positive du pays et encourager les investisseurs et les touristes à s’y intéresser davantage.
Certaines associations continuent à utiliser ce terme dans leur dénomination. Dans ces cas, il est de la responsabilité du gouvernement de rappeler à l’ordre ces associations et de les encourager à changer leur nom pour refléter la réalité de la situation. Il est en effet inacceptable que des associations nuisent à l’image du pays en utilisant un terme qui ne correspond pas à la réalité.
Force nous est de conclure que l’utilisation abusive du mot conflit dans l’appellation de certaines associations nées au Burundi ne peut que renforcer la croyance de ces ennemis du Burundi qui continuent à vouloir démontrer à qui veut les écouter que notre cher Beau pays est toujours dans ces interminables faux conflits. Il est vivement recommandé à ces associations, signe des temps, de bien vouloir s’adapter à la réalité des faits sur terrain.
Sinon nous risquons de continuer à héberger des faux défenseurs des intérêts de la population burundaise qui ne cherchent rien d’autres que ternir l’image de notre patrie sur la scène internationale. Il est de la responsabilité de chacun de dénoncer ces abus et de promouvoir une utilisation précise et appropriée du terme « conflit ».
A bon entendeur salut..
Par :Ntwari James