A cette occasion de l’audience, la
Directrice Général s’est dite émerveillée par la richesse des discutions et l’engagement de tout un chacun à apporter sa pierre à l’édifice de l’économie du Burundi.
A cet effet, elle a précisé au Chef de l’Etat que la Société Financière Internationale est prête pour appuyer le secteur privé, pilier du développement afin qu’il puisse élaborer et exécuter ses projets au développement du pays en général.
Elle a souligné que la Société Financière Internationale a déjà injecté des fonds dans certaines Banques Commerciales afin que les petites et moyennes entreprises puissent avoir accès aux crédits facilement. Elle compte aussi intervenir dans le secteur minier et énergétique car l’un des défis qui a été relevé au cour du Forum par le secteur privé est la carence en énergie pour travailler convenablement. La Société envisage en outre appuyer dans le secteur agricole, notamment dans la culture du thé, du café, du canne à sucre, etc. d’autant plus que ces cultures sont susceptibles d’être exportées et rentrer des devises aux pays.
Afin d’aider, d’accompagner et de financer facilement le secteur privé, la Société Financière Internationale a ouvert une branche au Burundi, il y a six mois.
Le Chef de l’Etat a remercié la Directrice Générale pour l’appui au développement en accompagnant le secteur privé et l’a rassurée que le Gouvernement burundais ne ménagera aucun effort pour travailler en étroite collaboration avec tous les partenaires au développement qui accompagnent le Burundi vers un Pays émergent en 2040 et développé en 2060.
La Présidence