Burundi / Guerre au Kivu (RDC) : Face à la propagande média Rwanda (M23)

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Alors que les trolls rwandais inondent les réseaux de fausses victoires, la FDNB maintient son avancée disciplinée au Kivu sous les ordres du général Prime Niyongabo et du président Évariste Ndayishimiye. Face au Rwanda (M23 : réseaux démocrates USA), les soldats burundais et congolais se doivent d’appliquer la méthode du « Tambour Sacré », ignorant la désinformation pour ne voir que la réalité du terrain.

Bujumbura, 9/12/2025 – En République démocratique du Congo (RDC), malgré l’accord conclu avec les États-Unis le 4 décembre 2025, le Rwanda persiste dans le rôle qui lui a été assigné par Washington depuis 1994. Un rôle, semblable à ceux joués au Sahel, dans le nord du Cameroun, au Soudan et au Soudan du Sud, dans le golfe de Guinée ou encore dans le détroit du Mozambique : entretenir le chaos pour permettre aux multinationales américaines de piller les ressources à peu de frais, tout en sabotant les routes commerciales chinoises en Afrique. Le Rwanda, via le M23, comme les pirates ou les terroristes djihadistes, remplit la même mission.

Les Forces de défense nationale du Burundi (FDNB) sont aujourd’hui engagées au Kivu contre le Rwanda (M23) – instrument des démocrates américains (Clinton,Obama, Biden, Soros etc. ), de l’État profond et du lobby minier américain.
Avant l’arrivée de S.E. Donald Trump à la Maison-Blanche, le Rwanda (M23) bénéficiait du « troisième œil » satellitaire américain, lui offrant une vision quasi parfaite des positions adverses. Mais aussi, comme aujourd’hui, des armes et du réseau médiatique de Soros, habituellement mobilisé lors des révolutions de couleur.

L’une des stratégies du Rwanda (M23) et de ses relais américains consiste à inonder les réseaux sociaux de trolls et de messages démobilisant visant la RDC et ses alliés. Ils prétendent être partout et conquérir des localités qui, en réalité, ne sont pas tombées. Ces rumeurs génèrent une psychose chez certains officiers congolais ultra-connectés ou en poste à Kinshasa, qui prennent alors des décisions inappropriées. Cela permet à de petites unités rwandaises (M23), en tactique de guérilla, d’occuper momentanément des villages, d’y prendre des photos et de prétendre les contrôler. En fait, elles ne tiennent rien : ce vide, créé par les soldats congolais ayant déserté sous l’effet de cette guerre de propagande menée habilement par le Rwanda (M23, réseaux américains), permet à ces unités de sembler victorieuses.
Les soldats burundais de la FDNB et les Wazalendo congolais, eux, pratiquent la méthode du Tambour Sacré (référence à l’Ubungoma¹). Tel les sons, ils n’en sortent que pour constater la réalité sur le terrain. Et souvent, face à eux, il n’y a que du vent.

Malgré cette guerre des rumeurs, la FDNB poursuit son combat avec discipline, professionnalisme et sens de la responsabilité, sous l’autorité de S.E. Ndayishimiye Évariste, président du Burundi et général-major, et de son chef d’état-major, le général Niyongabo Prime, lieutenant-général.

¹ Nahimana Karolero Pascal, Histoire du Burundi : Les grandes dates de l’histoire des Barundi et de l’État millénaire africain – Ingoma y’Uburundi, Éd. Génération Afrique, 2024.