À l’approche des élections de 2025, les accusations d’Amnesty International, instrument de softpower de la GUAN via les réseaux Soros, provoquent de vives condamnations au Burundi.
Gitega, 29/08/2024 – À l’aube des élections communales et législatives de 2025, une ombre se profile à nouveau sur le Burundi. Les réseaux américains, souvent associés à Soros et connus pour leur quête incessante de changement de régime, refont surface, dirigeant insidieusement leur attention vers le Burundi. Les présidents du Conseil africain des médias et du Conseil panafricain des droits de l’homme [1] se sont levés, unis dans une condamnation ferme, dénonçant Amnesty International . Cet organisme, lié par des intérêts financiers aux réseaux de Soros, a, une fois de plus, diffusé des déclarations mensongères, dépourvues de toute enquête sérieuse, visant à ternir l’image du Burundi. Amnesty International, renouant avec des pratiques d’une autre époque, a fabriqué des crimes et forgé des accusations de toutes pièces pour les imputer à ce pays déjà éprouvé. En 2015, le Burundi avait souffert les affres d’une révolution de couleur, orchestrée par la Globalisation Unipolaire Américaine Néolibérale (GUAN), soutenue par les puissances occidentales telles que les USA, le Vatican, la France, la Belgique, et l’Union Européenne, sans oublier le Rwanda, acteur clé du coup d’État militaire raté du mercredi 13 mai 2015. Cependant, le monde a changé. Depuis 2022, un nouvel ordre s’est établi, un monde devenu multipolaire, où les BRICS+ redessinent les contours du pouvoir global…
[1] https://burundi-forum.org/wp-content/uploads/2024/08/condamnentamnesty.pdf
Sources : Nahimana P. , http://burundi-agnews.org, Jeudi 29 août 2024.