𝙐𝙣𝙚 𝙜𝙚𝙨𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙘𝙚𝙣𝙩𝙧𝙖𝙡𝙞𝙨𝙚́𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙨𝙞𝙩𝙚𝙨 𝙩𝙤𝙪𝙧𝙞𝙨𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙪𝙝𝙖𝙞𝙩𝙚́𝙚

Jacques Bigirimana propose que les sites actuellement administrés par les communes ou par l’Office Burundais pour la Protection de l’Environnement (OBPE) soient transférés sous la responsabilité du ministère du Commerce, de l’Industrie et du Tourisme. Selon lui, cette réorganisation permettrait de mieux valoriser ces lieux et d’augmenter leur attractivité.

𝙀́𝙡𝙖𝙗𝙤𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙙’𝙪𝙣 𝙥𝙡𝙖𝙣 𝙢𝙖𝙧𝙠𝙚𝙩𝙞𝙣𝙜 𝙙𝙪 𝙩𝙤𝙪𝙧𝙞𝙨𝙢𝙚

Cette déclaration a été faite ce mardi lors d’une réunion consacrée à l’élaboration du Plan marketing du tourisme au Burundi, un document stratégique destiné à promouvoir l’image du pays à l’international. Ce plan vise à révéler le potentiel touristique du Burundi, ses richesses naturelles et culturelles, et à apporter des solutions concrètes aux freins actuels du secteur.

𝙊𝙗𝙟𝙚𝙘𝙩𝙞𝙛 2040–2060 : 𝙪𝙣 𝙩𝙤𝙪𝙧𝙞𝙨𝙢𝙚 𝙖𝙪 𝙨𝙚𝙧𝙫𝙞𝙘𝙚 𝙙𝙪 𝙙𝙚́𝙫𝙚𝙡𝙤𝙥𝙥𝙚𝙢𝙚𝙣𝙩

« Il est temps que les sites touristiques soient gérés par des structures compétentes, afin qu’ils soient valorisés à leur juste valeur, conformément à la vision du Burundi émergent à l’horizon 2040 et développé à l’horizon 2060 », a déclaré Jacques Bigirimana.

Il s’est dit étonné que certains sites touristiques restent en dehors de la gestion du ministère concerné, ce qui ralentit leur mise en valeur. Une gestion unifiée permettrait non seulement d’attirer davantage de touristes, mais aussi de générer des recettes en devises pour le pays.

𝙍𝙚𝙙𝙤𝙧𝙚𝙧 𝙡’𝙞𝙢𝙖𝙜𝙚 𝙙𝙪 𝘽𝙪𝙧𝙪𝙣𝙙𝙞 𝙖̀ 𝙡’𝙞𝙣𝙩𝙚𝙧𝙣𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡

Le plan marketing a également pour objectif de corriger l’image négative souvent relayée sur les réseaux sociaux. Pour Jacques Bigirimana, il est urgent de montrer une autre facette du Burundi, plus positive, en mettant en avant ses atouts touristiques et en positionnant le secteur comme un pilier de l’économie nationale.