New York, le 1er/09/2015 (Revelation News). -Une délégation de haut niveau conduite par l’honorable Edouard Nduwimana, Deuxième Vice-Président de l’Assemblée Nationale, séjourne en ce moment à New York pour une mission de travail. Au cours de son séjour dans cette capitale de la diplomatie multilatérale, la délégation rencontrera plusieurs délégations étrangères, principalement celles de certains pays européens, des Etats Unis et africains.

Le but de ces rencontres est de briffer nos partenaires sur l’état de la situation politico sécuritaire au Burundi qui ne cesse de s’améliorer au jour le jour. Ce sera aussi une occasion en or de restaurer une partie de la confiance avec nos partenaires perdus suite au processus électoral qui vient de se clôturer avec succès ce 24 août 2015 par des élections collinaires.
Parlant des élections collinaires, dans sa déclaration préliminaire sur les élections collinaires du 24 août, la Menub a conclu que « l’élection des chefs des collines et de quartiers a été menée de façon adéquate du point de vue technique et dans un environnement meilleurs que les élections précédentes ».

Selon nos sources à New York, la délégation burundaise rencontrera entre autres les delegations des pays et organisations suivants: USA, ONU, France, Angola, Belgique, Union Interparlemrntaire (président), United Kingdom.
On rappelle que le Président de l’Assemblée, Hon Pascal Nyabenda, et son Premier Vice-Président, Hon Agathon Rwasa, étaient à leur tour en tournée à Kampala, où ils ont rencontré le Président Yoweri Museveni, facilitateur dans la crise politique burundaise.

Par ailleurs, un haut responsable de l’administration OBAMA à Washington a catégoriquement démenti la rumeur selon laquelle les USA avaient pris une décision d’interdiction de séjour et d’octroi des visas à des officiels Burundais.
« C’est faux. S’il est vrai que nous désapprouvons le forcing électoral orchestré par Pierre Nkurunziza, le Burundi reste notre partenaire et nous continuerons à collaborer avec les institutions reconnues dans le cadre des Nations Unies », a rétorqué John O’Hara, du Département d’État Américan.