90928-3307867.jpgUne aberration, un non sens, dans le contexte actuel, dans les conditions de pénurie de devise organisée par l’occident, le Burundi devrait faire un choix.9377089_l-2.jpg

De la tôle à la tuile.

Quelqu’un me disait diable: « pourquoi vouloir manger du pain dans un pays où le blé ne pousse pas » dans le pays de la banane et du manioc, de la patate douce et du sorgho, de la colocase et du riz.

De même, il est anormal de continuer de gaspiller des devises en important des tôles alors que la tuile est disponible dans chaque lopin de terres au Burundi. Il suffit d’une « bonne »volonté, politique où pas.

La tuile(celle qui est bien faite) aurait une durée de vie d’une centaine d’années. Ce n’est pas le cas pour les tôles, qui totaliseraient au grand maximum une trentaine d’années.

Burundais , burundaises faites la tuile, à l’époque de l’écologie tout azimut, vous faire une économie de tonnes de carburant consommés en important les tôles et en même temps le pays fera beaucoup d’ économies d’abord sur la durée de vie des tuiles et enfin sur l’économie de devises.

Une piste contre le chômage et un savoir faire à acquerrir

En plus, cela donnerait l’occasion de créer des activités qui dans un premier temps pourrait absorber l’abondante main d’oeuvre bon marché, une automatisation étant toujours possible.

Un confort à l’utilisation

A Bujumbura où il fait en moyenne 24°, la tuile pourrait être préférée par rapport à la tôle qui irradie quasi instantanément la température communiquée par les premières rayons de soleil matinal. Tandis que la tuile garderait mieux la fraîcheur de la nuit et chaufferait moins vite que la tôle.

Une réflexion à approfondir au sein du ministère des travaux publiques.