Selon les révelations faites il y a quelques mois par un consortium des journaux eurpéens ; ce qu’il est permis d’appeler maintenant l’affaire Dbagdbo a commencé sur un vice de procédure, des techniques et des procédures d’interpellations dignes de république bananière: on rappelera que une note de la « diplomatie » française décidera du sort du président Dbagdbo alors qu’il n’y avait pas encore de mandat d’arrêt contre lui.
Et maintenant, selon le correspondant de radio france internationale à LAHAYE, les juges de cette cour dont il est clairement manifeste qu’il a été commendité pour compromettre les nègres de cette planète, aurait autorisé les avocats de Dbagdbo et Ble Coude de « plaider l’acquittement ».
Toujours selon RFI qui cite le dossier: « il n’y a pas suffisamment de preuves susceptibles de justifier une condamnation ».
A voir le gaspillage en argent, et surtout le gachis qui a été fait à la vie de ces deux hommes; on comprend suffisamment pourquoi le Burundi s’est méfié comme de la peste de cette cour de blancs investi de volonté d’avilir et de continuation de l’assujetissement des noirs en vilipendant leurs dirigeants.
La cour de LAHAYE pourrait elle agir dans le dossier « du financement libyen » comme elle agit dans le dossier Dbagdbo.
Il est permis de rever!?