Pour éviter que personne n’en ignore le contenu, étant donnésa modification récente
Le Conseil national de la communication (CNC) a organosé, ce jeudi 15 novembre 2018, un atelier de vulgarisations des textes régissant le secteur des médias au Burundi dans quatre régions du pays. Les invités à cet atelier sont les responsables des différents secteurs de la vie du pays, les responsables des médias et les journalistes. C’est pour éviter que personne n’en ignore le contenu étant donné sa modification récente.
A Bujumbura, dans l’une des salles du nouveau building des Finances, se sont rencontrés les invités provenant des provinces de Bubanza, Cibitoke, Bujumbura, Bujumbura mairie et Rumonge. Les activités ont été rehaussées par la présence du Conseil national de la communication (CNC), Nestor Bankumukunzi.
Après le mot d’accueil du représentant du maire de la ville de Bujumbura, le président du CNC a lu le discours d’ouverture de cet atelier. M. Bankumukunzi a expliqué les raisons l’organisation dudit atelier à l’intention des responsables des différents secteurs de la vie du pays. « C’est parce que la communication et l’information sont des ingrédients sans lesquels la vie des citoyens, des communautés et de tout le pays serait compromise car l’Homme est fait pour communiquer », a-t-il précisé. Il a ajouté que c’est parce que le partenariat de ces derniers est incontournable pour asseoir une presse libre, responsable et respectable dans l’intérêt de toute la nation.
Le discours d’ouverture a été suivi par deux exposés. Le premier sur « pourquoi la création du CNC » qui a été fait par la trésorière du CNC, Mme Yvette Irambona. Celle-ci a parlé de la composition de cet organe, de sa mission, de son fonctionnement, etc. Le deuxième exposé était centré sur « la nouvelle loi régissant la presse au Burundi » et a été animé par le président du CNC. Celui-ci a expliqué alinéa par alinéa la nouvelle loi régissant la presse au Burundi. Les exposés ont étés suivis par les échanges. A cette occasion, diverses interventions ont été faites et pas mal de questions ont été adressées aux conférenciers. Des réponses bien précises et satisfaisantes ont été données aux questions posées. Vous saurez que la même activité était organisée à Gitega, Rutana et Ngozi où se rencontraient des invités des provinces environnantes.
ERIC SABUMUKAMA, http://www.ppbdi.com