Cela fait un bail que le bouillant porte-parole du conglomérat CNARED n’a plus sorti ses arguties déplacées sur le pouvoir en place. Panne d’inspiration ou absence de jus ? Il y a quelques temps, les membres de cet ensemble nous disaient qu’ils en avaient à revendre et que les jours du régime du parti au pouvoir étaient comptés.
Complètement édenté et les soutiens financiers se terrissant, ils auraient opté pour la clandestinité en attendant les jours meilleurs. Sage décision car jusqu’à présent ils ramaient dans le vide, s’ils relisaient les déclarations qu’ils faisaient au moment de leur laborieux combat anti troisième mandat, s’ils osaient prendre le courage à deux mains et lire toutes les balivernes qu’ils nous ont servies ces dernières années, on se demande dans quel état ils se trouveraient ! La honte ne tue pas.
Devons-nous nous en inquiéter ? Je ne pense pas. Le CNARED suit le même chemin que l’ADC-Ikibiri. Il ne pouvait pas en être autrement car les mêmes causes provoquent toujours les mêmes effets. L’année prochaine nous participerons aux élections démocratiques et comme il se doit, il y aura des gagnants et des perdants. Assisterons-nous dans la foulée à une naissance d’une autre structure de même acabit que le CNARED ? C’est de l’ordre du possible, on sait d’ores et déjà que les perdants pourraient se consoler en empruntant cette voie.
Question de curiosité, au cas où quelqu’un aurait des nouvelles fraîches du conglomérat CNARED, où ils en sont, que font-ils, etc.… nous les partager ça aiderait ceux qui seraient tentés de faire la même mésaventure après les scrutins électoraux de 2020, à s’en dissuader. Perdre ses dents c’est pas marrant !
Bamboneyeho Ado