Petit à petit le Burundi sort de l’ornière et pour le bonheur de son peuple.
Après la pluie vient toujours le beau temps

D’après les signaux que nous observons ici et là, nous pouvons croire que les relations entre les peuples belge (et/ou européen) et burundais vont à nouveau se normaliser n’en déplaise à ces quelques Belges et autres Européens nostalgiques du passé qui avaient tout essayé pour ternir l’image du Burundi afin que « in fine » ils le détruisent de l’intérieur via des Burundais cupides triés sur le volet , ayant comme caractéristique principale leur propension à aimer les biens matériels mal acquis ainsi que frapper d’ostracisme les institutions burundaises.

Des moyens colossaux avaient pu être réunis en termes de plusieurs millions de dollars pour financer les manifestations violentes, pour équiper les putschistes, pour mener une campagne médiatique de diabolisation, pour constituer des lobbies à travers le monde dont la mission principale était de miner les relations internationales du Burundi afin d’atteindre son isolement et alors en définitive abattre le régime démocratique en place issu de la volonté des citoyens Burundais après le cycle électoral de 2015. Pour une véritable révolution de couleur.

On peut déplorer l’attitude de ces Burundais cupides recrutés pour cette sale besogne, certains se trouvent en Europe, dont une poignée parmi eux pratiquent des actes culturellement honnis par la société burundaise mais qui ont constitué un atout majeur pour tisser des sympathies dans les milieux qu’ils fréquentent, ce qui a facilité leur acceptation des mensonges et des manipulations de ces derniers jours dans les médias à travers le monde.

La vérité commence à éclater au grand jour, ces milieux ayant tout tenté et tout échoué, n’hésitent plus à plaider pour la destruction préalable du Burundi par n’importe quel moyen pour « soit disant » pouvoir y mettre de l’ordre par la suite, à tout au moins mettre le Burundi sous tutelle de l’ONU en utilisant éventuellement des forces d’occupation pour « soit disant » éviter un génocide imaginaire ou virtuel, chanté tous les jours comme une prière incantatoire, alors que le génocide connu de tous qui a eu lieu en 1972 peine à être reconnu officiellement par ces hypocrites donneurs de leçon pour les droits de l’homme, à appeler comme ultime moyen au meurtre des autorités burundaises, en commençant par l’assassinat du Président de la République ; à ce propos des écrits et des sources sonores sont légion.

Qu’est ce qu’ils n’ont pas fait pour les besoins de cette cause, depuis le reportage bidon avec comme vedette un Général Moïse qu’on avait trouvé dans les hauteurs du Masisi en RDC et qui était prêt à balayer d’un revers de la main l’armée burundaise, depuis lors il s’est évaporé ; des articles de presse rédigés par des éminents spécialistes du Burundi et de l’Afrique qui sans hésiter criaient au loup imminent dans la bergerie ; des émissions radiophoniques qui ne faisaient que générer la peur au sein de la population burundaise provoquant ainsi un mouvement de panique et les poussant à l’exil ; des pseudo- débats télévisés avec des pseudo-intellectuels triés aussi sur le volet sur base de leur propension de haine du régime en place au Burundi ; des fonctionnaires de certains organismes internationaux partiaux jusqu’à la moelle épinière qui n’hésitent pas à produire des faux en écriture sans vergogne, juste pour salir les institutions burundaises; des politiciens actifs dans certains pays ayant des accointances avec des « soit disant » politiciens Burundais de l’opposition alors que ces derniers sont connus par la population burundaise comme étant des loosers, spéculateurs et sans foi ni loi pour arriver à leurs fins quitte à vendre des images horribles et macabres tel que nous l’avons vu sur une chaîne de télévision occidentale et dont les auteurs se ventaient déjà de les avoir déjà transmises aux Nations Unies.

Après la pluie vient le beau temps dit-on. A y regarder de près, ce n’était pas une pluie c’était plutôt un ouragan qui devait tout balayer sur son passage mais le Bon Dieu (Imana y’Abarundi) à préserver le Burundi puisque rien de tout cela n’est arrivé et ne compte pas arriver. Le mensonge ne porte jamais des fruits et les vrais amis du Burundi commencent à se manifester après avoir constaté et compris la cabale qui avait été montée contre ce cher pays comme un rouleau compresseur irrésistible.
Armons-nous de courage et d’espérance car le beau temps pointe à l’horizon.

Ruvyogo Michel