18881832_772331932949798_8778005972511283830_n.jpg1/ 13 DEPUTES EUROPEENS – EURODEPUTES – TOUS AUX AFFAIRES AVEC DES MULTINATIONALES IMPLIQUES DANS LES GRANDS LACS AFRICAINS ECRIVENT UNE CARTE BLANCHE SUR LA SITUATION AU BURUNDI : – Le 25 avril 2015, Monsieur Pierre Nkurunziza, Président de la République du Burundi, a pris une décision lourde de conséquences. Il s’est en effet octroyé un 3ème mandat illégitime et illégal, en violation flagrante des prescrits de l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation au Burundi et de la Constitution, qui limitent tous les deux, et de façon explicite, les mandats présidentiels à deux termes de 5 ans chacun. Cette décision a été prise en dépit d’un rejet sans appel par l’Assemblée nationale du projet d’amendement de la Constitution pour tenter de légitimer ce 3ème mandat anticonstitutionnel.

carte_blanche_du_reseau_liberal_belge_via_des_eurodeputes_sur_le_burundi.pdf : https://www.burundi-forum.link/IMG/pdf/carte_blanche_du_reseau_liberal_belge_via_des_eurodeputes_sur_le_burundi.pdf

VOICI LA LISTE DE CES EURODEPUTES :

Louis MICHEL (ALDE)
Charles GOERENS (ALDE)
Gérard DEPREZ (ALDE)
Javier NART (ALDE)
Hilde VAUTMANS (ALDE)
Nathalie GRIESBECK (ALDE-MoDem)
Marie ARENA (S&D)
Marc TARABELLA (S&D)
Cecile KYENGE Kashetu (S&D)
Juan Fernando LÓPEZ AGUILAR (S&D)
Maurice PONGA (PPE)
Mariya GABRIEL (PPE)
Michèle RIVASI (VERT/ALE)

POUR MIEUX COMPRENDRE, VOICI CE QUE L’ON APPELLE EN BELGIQUE LE « DIRTY BUSINESS » DU PARTI MR (LIBERAUX) EN AFRIQUE – Source : http://www.palestine-solidarite.org/analyses.luc_michel.150217a.htm ou encore source : http://www.levif.be/actualite/belgique/les-reseaux-africains-du-mr/article-normal-371221.html ou Source : http://archives-afriquecentrale.com/content/la-v%C3%A9rit%C3%A9-sur-les-r%C3%A9seaux-mr-en-afrique-centrale#.WTaOm0c6_rc

Extrait (1) : Les réseaux africains du MR, par Marie-Cecile Royen, mars 2015 : http://www.levif.be/actualite/belgique/les-reseaux-africains-du-mr/article-normal-371221.html


L’affaire Kubla a mis en lumière les liens très particuliers que certains libéraux ont noués avec l’Afrique. Plusieurs réseaux s’y croisent, certains à la lisière de la politique et des affaires.
La nature a horreur du vide. Après le drame de Lubumbashi (massacres d’étudiants sous Mobutu, 1991) et le génocide du Rwanda (1994), les Belges refluèrent d’Afrique centrale. L’ère glaciaire ne s’interrompit qu’avec l’arrivée de Louis Michel (MR) au poste de ministre des Affaires étrangères, dans le premier gouvernement Verhofstadt, en 1999. Les libéraux néerlandophones et francophones (surtout) récupérèrent la place laissée vacante par des générations de responsables catholiques francophones et flamands (surtout), qui connaissaient le Congo et le Rwanda/Burundi comme leur poche, via leurs ONG et des diplomates très pointus. A force, les « bleus » se sont constitués un épais carnet d’adresses.
Comme celui de Serge Kubla. L’ancien ministre wallon de l’Economie et désormais ex-bourgmestre de Waterloo est inculpé pour corruption, après avoir remis de l’argent liquide (20 000 euros) à Chantal Muzito, la femme de l’ancien Premier ministre congolais Adolphe Muzito de passage à Bruxelles.
Avec ses fréquentations louches, le Waterlootois fait figure de Pied Nickelé aux côtés de deux poids lourds de la politique belge, Louis Michel (MR) et Herman De Croo (Open VLD), qui ont développé une vraie addiction pour l’Afrique et ont leurs entrées, par la grande porte, dans le monde économique congolais. La présence belge la plus importante s’orchestre autour de l’homme d’affaire belgo-zélandais George Arthur Forrest, qui s’est taillé un empire au Katanga. Louis Michel lui ménage tellement peu son amitié, encore renforcée par des liens maçonniques, qu’il a accepté de présider le comité scientifique de la Fondation George Arthur Forrest, basée à Wavre. Autre membre de cet aréopage philanthropique : Pierre Chevalier, senior vice-président du groupe Forrest et ancien homme politique libéral flamand, fervent lobbyiste de George Forrest. Louis Michel est très chatouilleux sur la question de son désintéressement par rapport aux entreprises du « vice-roi du Katanga ».
De l’autre côté de la frontière linguistique, le patriarche Herman De Croo ne fait pas mystère de ses liens avec le Congo. Il y a des intérêts privés en tant qu’administrateur de la société d’investissement Texaf. Il est également président-fondateur du Centre belge de référence pour l’expertise belge en Afrique Centrale, dont les délégués universitaires étaient, jusqu’il y a peu, Pierre Verjans (ULg) et Filip Reyntjens (université d’Anvers).
Il ne faudrait pas sous-estimer la place que l’Afrique a prise dans les tripes et les jeux de pouvoirs des libéraux. Elle leur offre une cour de récré plus grande que la Belgique et peut-être le sentiment d’encore peser, un peu, sur les affaires du monde. Ils y ont développé des relations qu’il serait, certes, hardi de comparer avec celles que la « Françafrique » entretient avec ses anciennes colonies mais elles reposent quand même sur un maillage étroits de liens d’affaires et de connivence philosophique.


Extrait (2) : La vérité sur les réseaux MR en Afrique centrale, par Marie-Cecile Royen, mars 2015 [ http://archives-afriquecentrale.com/content/la-v%C3%A9rit%C3%A9-sur-les-r%C3%A9seaux-mr-en-afrique-centrale#.WTaOm0c6_rc ]
Les congolais sont par rapport aux rwandais et burundais les primo-arrivants en Belgique. Mais, C’est les tutsis rwandais et burundais qui ont pu se rapprocher le mieux et de plus près les réseaux des libéraux africanophiles belges avec l’Afrique Centrale. Si les libéraux ont beaucoup d’amis au Rwanda et au Burundi, ils ont un homme d’affaires qui règne en maître depuis toujours sur l’économie zaïroise et congolaise, « Georges Forrest, vice-roi du Katanga ». Christophe Ayad de Libération (link is external) décrivait en 2006 l’homme devenue à lui seul une mine d’investisements, comme « cet homme d’affaires belge aux activités troubles et proche du pouvoir de Kabila est devenu un des plus grands entrepreneurs miniers du Congo en installant ses usines sur les restes des exploitations phares du pays ».
Selon Pierre Péan (Noires fureurs, blancs menteurs, Enquête. Ed. Mille et une nuits, Paris 2005), le 1er libéral par qui la carte politique et diplomatique belgo-africaine a pris un nouveau visage est Jean Gol. Il aurait étudié à l’ULB avec l’ancien président Bagaza du Burundi à l’ULB. Il lui a rendu visite en 1987 à Bujumbura. En ce moment, le clivage entre laïcs et catholiques de Belgique est à son plus haut niveau., et le fossé s’est creusé aussi profond que celui qui sépare les wallons et les flamands. Les maçons libéraux belges ont épousé la thèse des tutsi d’Afrique centrale de la négation des ethnies. Le principe de base démocratique un homme pouvait s’appliquer partout ailleurs sauf au Rwanda et au Burundi.
Ceci était difficile sinon impossible à comprendre, jusqu’au jour où Marie-Cecile Royen du vif l’Express ose révéler que «l’affaire Kubla a mis en lumière les liens très particuliers que certains libéraux ont noués avec l’Afrique. Plusieurs réseaux s’y croisent, certains à la lisière de la politique et des affaires.
La nature a horreur du vide. Après le drame de Lubumbashi (massacres d’étudiants sous Mobutu, 1991) et le génocide du Rwanda (1994), les Belges refluèrent d’Afrique centrale. L’ère glaciaire ne s’interrompit qu’avec l’arrivée de Louis Michel (MR) au poste de ministre des Affaires étrangères, dans le premier gouvernement Verhofstadt, en 1999. Les libéraux néerlandophones et francophones (surtout) récupérèrent la place laissée vacante par des générations de responsables catholiques francophones et flamands (surtout), qui connaissaient le Congo et le Rwanda/Burundi comme leur poche, via leurs ONG et des diplomates très pointus. A force, les « bleus » se sont constitués un épais carnet d’adresses.
Comme celui de Serge Kubla. L’ancien ministre wallon de l’Economie et désormais ex-bourgmestre de Waterloo est inculpé pour corruption, après avoir remis de l’argent liquide (20 000 euros) à Chantal Muzito, la femme de l’ancien Premier ministre congolais Adolphe Muzito de passage à Bruxelles.
Avec ses fréquentations louches, le Waterlootois fait figure de Pied Nickelé aux côtés de deux poids lourds de la politique belge, Louis Michel (MR) et Herman De Croo (Open VLD), qui ont développé une vraie addiction pour l’Afrique et ont leurs entrées, par la grande porte, dans le monde économique congolais. La présence belge la plus importante s’orchestre autour de l’homme d’affaire belgo-zélandais George Arthur Forrest, qui s’est taillé un empire au Katanga. Louis Michel lui ménage tellement peu son amitié, encore renforcée par des liens maçonniques, qu’il a accepté de présider le comité scientifique de la Fondation George Arthur Forrest, basée à Wavre. Autre membre de cet aréopage philanthropique : Pierre Chevalier, senior vice-président du groupe Forrest et ancien homme politique libéral flamand, fervent lobbyiste de George Forrest. Louis Michel est très chatouilleux sur la question de son désintéressement par rapport aux entreprises du « vice-roi du Katanga ».
De l’autre côté de la frontière linguistique, le patriarche Herman De Croo ne fait pas mystère de ses liens avec le Congo. Il y a des intérêts privés en tant qu’administrateur de la société d’investissement Texaf. Il est également président-fondateur du Centre belge de référence pour l’expertise belge en Afrique Centrale, dont les délégués universitaires étaient, jusqu’il y a peu, Pierre Verjans (ULg) et Filip Reyntjens (université d’Anvers).
Il ne faudrait pas sous-estimer la place que l’Afrique a prise dans les tripes et les jeux de pouvoirs des libéraux. Elle leur offre une cour de récré plus grande que la Belgique et peut-être le sentiment d’encore peser, un peu, sur les affaires du monde. Ils y ont développé des relations qu’il serait, certes, hardi de comparer avec celles que la « Françafrique » entretient avec ses anciennes colonies mais elles reposent quand même sur un maillage étroits de liens d’affaires et de connivence philosophique ».
La vérité ne fait que commencer à se révéler. Mais, tout le monde la connait depuis toujours, mais personne ne sait quoi en faire.
Le dossier dans Le Vif/L’Express de cette semaine. Avec :
l’avis et le rôle d’Alain Destexhe
l’influence de François-Xavier de Donnéa
la chasse gardée du clan Michel- Wavre, fief des businessmen actifs au Congo
la rivalité Reynders-Michel
Alexandre de Croo : « Difficile de faire du business au Congo »
diplomatie : les libéraux s’exportent bien


Extrait (3) : Les témoignages d’un citoyen belge – M. LUC MICHEL – en février 2017 sur ce « scandale d’état » en BELGIQUE : http://www.palestine-solidarite.org/analyses.luc_michel.150217a.htm :
 » J’ai développé à partir de 2015 une grande action sur les dossiers du Burundi et de la RDC (via mes réseaux, Afrique Media TV et mon groupe multimedia), où je suis vite devenu très influent. A l’époque du net, des réseaux et médias sociaux, de l’info alternative et de la guerre médiatique, le monopole des médias de l’OTAN a été brisé et nos médias font jeu égal avec eux !
J’ai aussi donné un grand coup de pied dans deux fourmilières :

 premièrement celle des réseaux américains chargés du soi-disant « printemps africain » (dont parmi les premières cibles figuraient Kinshasa et Bujumbura), les fondations Söros et autres NDI,

 deuxièmement celle des réseaux belgicains libéraux dans la région des Grands-Lacs.
Ma grande tournée politique de avril-juin 2016 en Afrique francophone, largement médiatisée, où j’ai été reçu en audience officielle au nom de mon organisation panafricaine PANAFRICOM par quatre présidents et de nombreux vice-présidents, ministres et speakers parlementaires, dont les présidents Nkurunziza (Burundi) et Kabila (Congo), a été insuportable à tous ces gens.
A suivi une grande campagne internationale de « Michelbashing » (dépassant en violence et en médiamensonges celle lancée au printemps 2014 en Europe, après que j’aie organisé avec mon Ong EODE le monitoring du référendum d’autodétermination de Crimée, à la grande fureur de l’OTAN et de l’OSCE), notamment sur tous les grands médias de l’OTAN coalisés (Libération, Monde Afrique de Söros, Deutsche Welle, et des centaines de médias européens et « africains »). Ont suivi aussi des actes discrets destinés à me nuire (avertissement à des ambassadeurs africains, persécutions policières en Belgique, protestation du représentant de l’UE pour les Grands-Lacs). Le gouvernement belgicain, avec sa lâcheté habituelle, est aussi intervenu pour me faire expulser par son vieux complice Kagamé de Kigali (où j’étais avec un visa rwandais régulier) lors du XXVIIe Sommet de l’UA … »


Cfr: PLUSIEURS SCANDALES EN BELGIQUE LIES AU RESEAU AFRICAIN DU MR : [ le « dirty business » du MR en Afrique – http://www.palestine-solidarite.org/analyses.luc_michel.150217a.htm ; Le Reseau africain du MR – http://www.levif.be/actualite/belgique/les-reseaux-africains-du-mr/article-normal-371221.html ; https://www.rtbf.be/info/dossier/le-scandale-publifin-et-ses-suites-toutes-nos-infos/detail_publifin-nethys-et-stephane-moreau-sont-parties-prenantes-dans-une-societe-au-nord-kivu?id=9515133 ; http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/04/13/rdc-la-piste-du-scandale-des-passeports-biometriques-mene-au-clan-kabila_5110933_3212.html ; etc. ]

2/ L’EURO DEPUTE LOUIS MICHEL CONDUIRA LA DELEGATION DE L’UNION EUROPEENNE A LA RENCONTRE ACP. DU 19 AU 21 JUIN 2017 A MALTE. CE RESEAU AFRIQUE A MIS UN POINT : Thème d’urgence n°2 : La situation au Burundi http://www.europarl.europa.eu/intcoop/acp/2017_malta/pdf/1121001fr.pdf
ELLE Y PRESENTERA SA RESOLUTION ECRITE PAR M. LOUIS MICHEL ET SON RESEAU., CONTRE LE BURUNDI

3/ GUERRE HUMANITAIRE : Le Burundi est parmi les priorités de l’Union Européenne lors de la 35è session du Conseil des Droits de l’Homme à Genève
Burund
i: The EU is also awaiting an important update by the Commission of Inquiry on Burundi, who undertook several visits to the region and, despite the non-cooperation of the country concerned, gathered testimonies regarding the situation on the ground from refugees in neighbouring countries. The EU remains concerned by the persistence of human rights violations in the country, the ongoing impunity for the authors of these violations, and the absence of the necessary political opening. https://eeas.europa.eu/delegations/un-geneva/27415/eu-priorities-35th-session-human-rights-council_en
SELON CERTAINES INFORMATIONS L’UE FINANCERAIT LA CONFECTION DES DOSSIERS DES TERRORISTES DE 2015 – SINDUMUJA – A LA COUR PENALE INTERNATIONALE CONTRE LE BURUNDI (CPI). L’OBJECTIF EST LE COUP D’ETAT POLITIQUE AU BURUNDI EN METTANT LES AUTORITES BURUNDAISES A LA CPI

4/ REYNDERS A L’ONU / Lors de l’entretien, qui a duré une trentaine de minutes, M. Reynders a assuré le nouveau patron de l’ONU de son soutien dans les réformes qu’il entend mener pour rendre l’organisation plus efficace. Les deux hommes se sont ensuite attardés sur la situation de la mission des Nations unies au Congo (Monusco), alors que les foyers de tension se multiplient dans plusieurs régions de la RDC du fait du maintien au pouvoir du président Joseph Kabila au-delà de la fin de son mandat. « L’accord de partage du pouvoir doit être mis en oeuvre et mener à la tenue d’élections. Le Conseil de sécurité de l’ONU doit s’emparer de la question », a insisté M. Reynders. La crise politique que traverse le Burundi depuis 2015 a également été abordée. « En l’absence de grandes avancées, il s’agit de renouer les fils du dialogue », selon M. Reynders, qui a mis l’accent sur la MEDIATION et le MULTILATERALISME ,… [ http://www.rtl.be/info/monde/international/conference-des-nations-unies-sur-les-oceans-didier-reynders-evoque-les-tensions-en-afrique-et-au-moyen-orient-avec-antonio-guterres-924338.aspx ]

5/ VISITE DU DICTATEUR KAGAME EN BELGIQUE ( A L’UNION EUROPEENNE ) POUR COORDONNER LEURS ACTIONS DE NUISANCE EN AFRIQUE DES GRANDS LACS :
Rwanda — Belgique : Kagame attendu au tournant à Bruxelles – Ce mercredi 7 juin 2017, le Président Paul Kagame sera à Bruxelles pour participer aux European Development Days 2017. À l’occasion de sa présence dans la capitale belge une mobilisation sans précédent se prépare pour dénoncer le pouvoir « dictatorial et criminel » de Paul Kagame. [ http://www.jambonews.net/actualites/20170606-rwanda-belgique-kagame-attendu-au-tournant-a-bruxelles/ ]

EN CONCLUSION, L’ETAT DU BURUNDI A DESORMAIS ASSEZ D’ELEMENTS DE SOURCES DIFFERENTES ET INDEPENDANTES POUR SE CONCENTRER SUR SON ADVERSAIRE :

A) Au Burundi, ouvrir une procédure judiciaire contre des individus qui apparaissent comme les leaders de cette déstabilisation contre le BURUNDI et la région des Grands Lacs africain.

B) Informer la RDC CONGO, l’East African Community EAC, l’Union Africaine, les ACP, et l’ONU de cet affaire SCANDALEUSE.

C) Demander une condamnation ferme de l’UA et de l’ONU.

D) Avec la RDC CONGO, se convenir d’une action politique d’urgence à proposer à l’UNION AFRICAINE et à l’ONU concernant des personnalités impliqués dans CETTE AFFAIRE, qui a occasionné des centaines de milliers de victimes dans les GRANDS LACS AFRICAINS (Cfr. beaucoup de morts et de réfugiés.)

E) Présenter conjointement (RDC CONGO / BURUNDI ) ce SCANDALE via les MEDIA aux POPULATIONS OCCIDENTALES, notamment en BELGIQUE.

F) Ouvrir une PROCEDURE JUDICIAIRE AU NIVEAU INTERNATIONAL CONTRE L’UNION EUROPEENNE.

Nahimana.P, BXL Burundi-forum.link, BXL, le mardi 6 juin 2017