Nous nous acheminons, d’un pas sûr, vers la fin de l’année 2017, une année qui, sur le plan essentiellement politique, a été marquée par la célébration, dans la paix, la sécurité et la fierté nationale, du 55e anniversaire de notre indépendance. Un anniversaire de notre indépendance. Un anniversaire qui continue d’être célébré, à travers l’inauguration, par le président de la République Pierre Nkurunziza de plusieurs infrastructures d’importance socio-économique.

Cinq ans auparavant nous fêtions le 50e anniversaire de notre indépendance sous le mot d’ordre qui a été suivi d’effets sur le terrain de l’application, puisqu’il est heureux de constater aujourd’hui, que le redressement socio-économique ne tombera pas du ciel, mais des efforts conjugués de toute la population pour répondre aux exigences évolutives de sa marche vers le progrès.

L’inauguration par le président de la République Pierre Nkurunziza, de plusieurs infrastructures socio-économiques réalisées à travers le pays s’inscrit véritablement dans ce contexte. C’est pour cette raison, essentiellement, que nous devons adhérer aux propos du chef de l’Etat lorsqu’il parle de la nécessité de s’auto-suffire en comptant sur nos propres forces, loin de tout immobilisme et dogmatisme, en nous situant plutôt dans le cadre du renforcement de nos capacités, au moment où tout appelle au dynamisme et à l’initiative créatrice.

Nous nous acheminons, d’un pas sûr, vers la fin de l’année 2017, une année qui, sur le plan essentiellement politique, a été marquée par la célébration, dans la paix, la sécurité et la fierté nationale, du 55e anniversaire de notre indépendance.
Un anniversaire de notre indépendance. Un anniversaire qui continue d’être célébré, à travers l’inauguration, par le président de la République Pierre Nkurunziza de plusieurs infrastructures d’importance socio-économique. Cinq ans auparavant nous fêtions le 50e anniversaire de notre indépendance sous le mot d’ordre qui a été suivi d’effets sur le terrain de l’application, puisqu’il est heureux de constater aujourd’hui, que le redressement socio-économique ne tombera pas du ciel, mais des efforts conjugués de toute la population pour répondre aux exigences évolutives de sa marche vers le progrès.

L’inauguration par le président de la République Pierre Nkurunziza, de plusieurs infrastructures socio-économiques réalisées à travers le pays s’inscrit véritablement dans ce contexte. C’est pour cette raison, essentiellement, que nous devons adhérer aux propos du chef de l’Etat lorsqu’il parle de la nécessité de s’auto-suffire en comptant sur nos propres forces, loin de tout immobilisme et dogmatisme, en nous situant plutôt dans le cadre du renforcement de nos capacités, au moment où tout appelle au dynamisme et à l’initiative créatrice.

Régulièrement inaugurées par le président de la République Pierre Nkurunziza, les infrastructures socio-économiques sont le témoin éloquent du souci de la Direction politique de traduire dans les actes, sa volonté de voir tous les citoyens burundais redonner au travail productif toute sa vertu, en augmentant la production dans les divers secteurs de la vie socio-économique avec la détermination de lutter contre tout ce qui est de nature à diminuer nos capacités de contribuer à la maîtrise des problèmes épineux et complexes auxquels sont de nos jours confrontés l’Homme et la société.

C’est dans un tel ordre d’idées que le président de la République Pierre Nkurunziza a toujours mis en exergue l’importance des travaux de développement communautaire, dans une vision globale et unifiée répondant aux aspirations du peuple burundais qui, 55 ans après son indépendance obtenue au prix d’immenses sacrifices, est fière de son auto-développement tel que voulu par lui-même et non par l’arriération, l’ignorance, la domination étrangère et l’aliénation. L’analyse des potentialités du pays donne la certitude au Gouvernement du Burundi qu’il dispose de forces patriotiques immenses au niveau national, capables de transformer nos infirmités d’hier en atouts pour le développement qui est la colonne vertébrale de tout progrès, et dont dépend le succès de tout projet gouvernemental.

Aussi, est-il temps pour tous les Burundais de toutes les sensibilités politiques, de toutes les ethnies, de toutes les régions, de toutes les religions et de toutes les opinions philosophiques, de prendre réellement conscience des situations déplorables qui, dans un passé proche et lointain, nous ont fait prendre des retards dommageables pour le développement pour le bien-être de toute la population burundaise. C’est dire que seule la consolidation de la paix et de la sécurité demeure et demeurera le remède radical contre les maux sociaux qui nous ont fait perdre tant de vies et tant de temps.

Louis KAMWENUBUSA