S’il y a bel et bien un sujet qui fait couler beaucoup d’encre et de salive au Burundi, en ce moment, c’est bel et bien celui de la contribution aux élections de 2020. Et pourtant, il n’y a rien d’alarmant.
En voici les preuves.
La contribution financière des burundais au développement de leurs pays a toujours existé.
Sous le régime du colonel Jean Baptiste Bagaza, l’on appelait cela « l’impôt par capita ». A l’époque, chaque citoyen burundais devrait payer 1.000 francs burundais indépendamment de ses revenus.
Aujourd’hui, ce montant est l’équivalent de 23.000 francs burundais.
guerre » et cela a duré plus de 5 ans.Mais, comment se passe la contribution financière citoyenne dans d’autres parties du monde ?Chaque pays est différent et a ses propres besoins. Ceci étant, il est tout à fait normal qu’un gouvernement responsable et qui se respecte fasse appel à des contributions de sa population. Mais, ce que les burundais ignorent peut être aujourd’hui est que la contribution proposée par le régime de Pierre Nkurunziza est la plus simple, la plus flexible et la moins chère au monde. Pour ceux qui douteraient de cette affirmation, lisez ces articles se trouvant sur ces deux liens ; https://fr.wikipedia.org/wiki/