Avec cette nouvelle méthode dont les premiers essais s’effectuent dans son champ de 7 hectares avec l’appui technique des experts chinois, le Numéro Un Burundais prévoit au minimum une production de 8 tonnes par hectare.
“ Je me réjouis que les chercheurs et entrepreneurs commencent à investir dans le domaine agricole » a laissé entendre le Chef de l’Etat qui a toutefois souligné que les activités agricoles doivent se conformer aux règles établies.
Il a réitéré son appel à toute la population Burundaise à contribuer au combat contre la faim et la pauvreté à travers la promotion des activités agricoles pour accroître la production en s’inspirant des autres pays qui se sont développés grâce à l’agriculture comme la Chine et le Japon.
« L’urgence pour le moment est de construire 2 hangars communautaires cette année pour conserver la production agricole », a-t-il révélé déplorant que la conservation de la récolte reste un défis à relever.
Il a en outre fustigé le métier de commissionnaire qui ,selon lui, contribue à la hausse des prix des produits agricoles dans le pays et a fait savoir que des mesures seront prises pour bannir ce métier.
Le Président Ndayishimiye a par ailleurs salué le soutien du Gouvernement Chinois au Burundi à travers les experts du Centre Pilote Agricole de Gihanga.
« J’ai espoir que la production agricole nous sera d’un grand atout dans notre lutte contre la faim et la pauvreté », a confié le Numéro Un Burundais rassurant ses compatriotes qu’avec beaucoup d’efforts consentis dans le secteur agricole, des résultats seront visibles dans moins de 5 ans.
La Présidence