BUJUMBURA, 23/03/2021 – Le Ministère burundais de la Santé Publique, informait de la situation COVID-19 au Burundi [ https://burundi-forum.org/covid-19/ ] au Samedi 20 mars 2021 :
2.618 cas positifs COVID-19 confirmés qu’a connu le pays depuis le samedi 20 mars 2020 début de la pandémie au Burundi;
190 cas positifs COVID-19 actuellement sous traitement ;
2.420 cas positifs COVID-19 guéris;
170.739 tests COVID-19 ;
6 cas positifs COVID-19 décédés dont 1 suite à une autre maladie que le COVID-19 ( mort d’une autre maladie que le COVID-19 ).
3 cas de décès ont eu lieu en 1 coup la semaine du dimanche 14 au samedi 20 Mars 2021, avant la publication du COVID-19 Bulletin Hebdo, réalisé en partenariat avec L’OMS. Une enquête est ouverte sur ces décès particuliers en vue de vérifier si leur déclaration était indépendante ou lié à un consultant travaillant pour L’INDUSTRIE DES MULTINATIONALES PHARMACEUTIQUES. De plus, dans les chiffres présentés : 2.618 cas confirmés – 2.420 cas guéris égale 198 cas positifs en traitement, moins 6 cas de décès. Il reste 2 cas en traitement non comptabilisés ! Des chiffres non cohérents !
Le BURUNDI a mis en place un COMITE EN CHARGE DE GESTION DE LA COVID-19. Aujourd’hui, comme une toile d’araignée, L’INDUSTRIE DES MULTINATIONALES PHARMACEUTIQUES , premier partenaire financier de L’OMS, a créé une ECONOMIE GLOBALISEE autour de la COVID-19. Il revient à l’ETAT du BURUNDI, à travers ce COMITE, de garder un contrôle sur cette dernière. Par exemples, sur la campagne pour les vaccins ANTI-COVID entreprise en ce moment, ou encore sur le chiffre des morts qui peut vite augmenter selon qu’un individu ou une organisation en question, travaille ou non, est financé ou non, par cette puissante industrie etc. Des sommes importantes y ont été injectées. A travers ce COMITE, L’ETAT doit garantir, avant tout, LA SECURITE ET LA SANTE PUBLIQUE. Des chefs d’ETAT dans le monde ont été, ces derniers mois, victimes de cette INDUSTRIE particulière. Tous les membres de ce COMITE doivent certifiés leur indépendance vis à vis de cette INDUSTRIE. Sinon c’est la mise en danger de L’ETAT !
