Cet atelier avait pour objectif de réunir des mathématiciennes africaines pour travailler ensemble, partager leurs motivations et découvrir des femmes de différents pays à différents niveaux de carrières, lancer de nouveaux projets de recherche et collaborer entre mathématiciens de différents pays africains,…
Le dit atelier a vu la participation des femmes mathématiciennes provenant du Burundi, du Kenya, du Rwanda, du Cameroun, de la RDC, de la France et de la Tanzanie.
Dr Janvière Ndirahisha, mathématicienne, a indiqué que les mathématiques ne sont pas du tout compliquées, il faut revoir peut-être la manière dont on les enseigne, les rendre plus pratiques qu’abstraites, montrer leur application dans la vie courante. “Les maths sont les sciences de la vie, comment ne sont-elles pas aimées par nos jeunes en général et les filles en particulier”, s’interroge Dr Janvière Ndirahisha.
Elle a ajouté que pour inciter les filles à s’inscrire dans les filières, STIM, il faut notamment les aider à surmonter leurs appréhensions et avoir confiance dans leurs capacités.