Préliminaire analytique
Commençons par analyser ce qui se cache dans l’étalonnage périodique de l’encart « n’est qu’un Prof de gym » comportant une photographie faciale du Président Pierre Nkurunziza (PN) de CARL DE SOUZA/AFP. .L’auteur anonyme dit ; En en 1995, quand il entre dans la clandestinité, il n’est qu’un Prof (c’est moi qui mets le majuscule par politesse, ce qu’ignore l’auteur anonyme) de gymnastique. Il n’y avait pas que des Prof de gymnastique dans la clandestinité. A savoir !
Voyons les années énumérées par l’auteur anonyme de JA : Il dit en préambule : En quelques semaines, tout s’est accéléré. 2005 Nkurunziza est élu Président (C’est encore moi qui mets P à la place de p, car il s’agit ici d’un mépris bien palpable que quelqu’un d’autre en dehors de ses favoris bottés gouverne le BURUNDI. L’auteur anonyme (aa) devait savoir que cette élection était un consensus électoral d’Arusha. Election par les deux Chambres sans la participation du Peuple burundais. En 2010, il est réélu pour un nouveau quinquennat. Non Monsieur. Il n’est pas réélu, mais il est élu suivant la Constitution du Burundi. Vous devriez lire la Constitution du Burundi avant la ponte de telles inexactitudes.
En 2015, début des manifestations hostiles à un troisième mandat. Hélas, c’est en ce moment que tous les spécialistes des déstabilisations entrent en jeu. Surtout ce Burundi ne devait pas changer de régime des bottes favorables aux intérêts des particuliers. En cela, des médias se déchaînaient pour enterrer vivant le candidat. Il s’agissait du 2ème mandat comme le stipule l’Article 96 de la Constitution du Burundi. Le 8 mai, Nkurunziza se déclare officiellement à nouveau candidat. Conformément à l’Article 96 validé par la Cour Constitutionnelle.
Depuis l’indépendance, tous les Présidents du Burundi arrivaient au pouvoir par la force des armes, et les bonnes âmes médiatiques n’y trouvaient aucun inconvénient. Alors Monsieur AA ? Deux poids deux mesures. Le 14 mai 2015, tentative de putsch. Avec probablement la bénédiction des médias pro. Heureusement, le Burundi a failli sombrer mais il n’a pas coulé.
Le 10 mai 2015 la présidentielle est repoussée au 15 juillet 2015..Il est louable le Burundi. Les bailleurs de fonds lui coupaient les aides, mais pas l’esprit patriotique. L’aiglon quittait le nid, refusant la becquée et il s’envolait de ses propres ailes. Les élections ont eu lieu au nez et à la barbe de ceux qui le vouaient au au chaos. La moustache couvrait la bouche des putschistes et de leurs maîtres à penser, qui les accueillaient pour les nourrir comme des mendiants.
Sans cette aventure malheureuse, ils pouvaient rester tranquilles et vivre normalement comme tout un chacun, au lieu d’écouter des sirènes qui ne voulaient pas du bien pour le Burundi et finalement pour eux-mêmes. Dommage. A SUIVRE
Dr. N Ferdinand