Sur terrain, rien à signaler, on dirait même que le départ d’Onésime Nduwimana, de Gervais Rufyikiri, de Pie Ntavyohanyuma, de Jérémie Ngendakumana, de Tout autre et autres frondeurs, n’a fait que renforcer le parti CNDD-FDD. En d’autres mots, plus les « Ibigarasha » s’en aillent, plus le parti de l’aigle se renforce, s’impose et devient incontournable dans tous les coins du pays d’autant qu’il dispose du soutien inconditionnel de millions de burundais : « la majorité silencieuse ».
Cette capacité du parti de l’aigle à rester imperturbable, à résister aux assauts et aux tumultes de toute sorte, ça agace ses détracteurs surtout les occidentaux, ça déstabilise les « Mujeri » et les « Sindumuja », ça irrite les frondeurs et ça provoque des démangeaisons chez notre voisin du nord.
Qui alors, peut arrêter les ambitions du CNDD-FDD ? No one.
No one, parce qu’au moment où le CNDD-FDD s’ajuste et se lance pour les élections de 2020, les opposants comme Jean Minani, Busokoza et autres, sont distraits à Bruxelles par des frites, des jupilers et leffes blondes que leur offrent les belges. Il n’est pas rare d’entendre certaines autorités belges promettre aux membres du CNARED, l’entrée imminente au gouvernement de transition du Burundi sans Nkurunziza. What a bummer !!!!
No one, parce qu’au moment où le CNDD-FDD est en congrès pour affiner ses stratégies à court et long termes, les autres sont intéressés par des rumeurs sans fondements sur l’ambiance et l’issu du congrès. Ils sont plus préoccupés par ce qui se passe au sein du CNDD-FDD, jusqu’à oublier leurs propres organisations politiques.
No one, parce qu’au moment où le CNDD-FDD, prêche la paix et la sécurité, les autres prêchent la violence, inventent le génocide, trafiquent des images de violences, essayent de diviser ethniquement les burundais sans succès.
No one, parce qu’au moment où le CNDD-FDD renforce son pouvoir issu de la volonté du peuple, les autres sont pleins d’illusions qu’une rébellion va bientôt lancer des attaques et prendre le pouvoir.
No one, parce tout simplement, le CNDD-FDD est né dans la douleur, a fait ses premiers pas au milieu des loups, a grandi et est arrivé au pouvoir par le peuple sous le regard stupéfait de l’occident.
Personne ne peut stopper les ambitions du CNDD-FDD, ni Louis Michel et ses paires, ni Paul Kagamé et ses patrons, ni les traîtres hutus, ni les extrémistes tutsis, No one.
« Les sindumuja! Leurs actions, sont nos vaccins ».
La rédaction B-24