L’Agence burundaise de la promotion des investissements (Api) a organisé le mardi 27 septembre 2016 un atelier de validation du plan stratégique 2017-2022. Ce plan va assurer à l’Api une meilleure mise en œuvre de sa mission. Il est aussi un instrument qui servira de base à l’Api pour la mobilisation des ressources et celle des partenaires techniques et financiers.
Dans son discours, le directeur de l’Api, Didace Ngendakumana, a informé qu’après six ans de son existence, cette institution n’a cessé d’être la principale porte d’entrée des investisseurs qui se sont toujours installés au Burundi en contribuant au trésor public par le paiement des taxes, impôts et la création de l’emploi.
Il a ajouté que l’Api a senti une nécessité de s’aligner de plus en plus aux principes universels de planification stratégique sur le moyen terme tout en reconnaissant que la perfection n’est pas atteinte. Cet évènement, selon lui, constitue l’aboutissement d’un travail collectif considérable entrepris par l’Api et sur financement du projet PSD de la Banque Mondiale avec l’assistance technique du bureau de consultance international Trade and communication consulting (ITCC).
Dans son allocution, la secrétaire permanente au ministère de la Bonne gouvernance et du plan, Marguerite Kamana a indiqué que l’Api est devenu un des secteurs incontournables dans le développement socio-économique du pays à travers des résultats notables dans la promotion des investissements directs étrangers et des investissements nationaux. Elle a fait savoir que le plan stratégique 2017-2022 de l’Api propose les nouvelles orientations choisies. Ce plan fait une analyse de la situation passée de l’Api, présente la situation en cours et propose une stratégie d’intervention prioritaire ainsi qu’un plan d’actions et un budget prévisionnel d’activités pour la période 2017-2022.
Mme Kamana a signifié que ce plan traduit les cinq années à venir les objectifs de développement pour lever les défis majeurs qu’a rencontré l’Api. Il définit les priorités dans la réalisation de développement au plan institutionnel et organisationnel de même que des capacités techniques et professionnelles de chacun de ses départements.
Mme Kamana a précisé que les besoins sont clairement exprimés et s’articulent avec les priorités définies de façon à assurer à l’Api une meilleure mise en œuvre de sa mission. Ce plan est un instrument qui servira de base à l’Api pour la mobilisation des ressources et celle des partenaires techniques et financiers
Publication de Presse Burundaise