Depuis 2005, un club de certains pays occidentaux partisans de l’impérialisme néocolonial, aidés par des traîtres burundais dépourvus de tout sentiment et de tout esprit patriotique en connivence avec certains africains sans scrupule dont, dans leur ascendance on trouve des implications dans la traite négrière où ils vendaient leurs propres frères africains, veut continuer à saigner à blanc l’Afrique.
Ce club composite plus précisément, n’a d’autre objectif que celui de faire basculer les institutions burundaises dans les mains de leurs complices Burundais de l’époque dictatoriale, afin d’accaparer sans efforts les richesses de son sous-sol.
Ce qui ne surprend personne, c’est que le siège social de ce club se trouve en Belgique où s’entassent également la plupart des opposants burundais radicaux, violents, putschistes, anciens sans défaites et sans échecs devenus par la circonstance des défenseurs des droits de l’homme et pour cause en danger qu’il faut à tout prix protéger.
Que ce Rapporteur spécial imposé par les Européens s’informe correctement et prenne attitude sur le travail de ses prédécesseurs onusiens, s’il se positionne en fonctionnaire zélé des néo-colons au Burundi, les mêmes causes provoquant les mêmes effets, il peut d’ores et déjà, se dire que les Burundais prendront aussi attitude appropriée à sa véritable mission. Nous savons tous que dans son chef, des droits de l’homme il n’en serait pas question car il sert strictement les intérêts de ses patrons, avant-hier esclavagistes, hier colonialistes et aujourd’hui néo-colons.
L’époque des nègres « bénis oui oui » est révolue. Nous voulons et nous souhaitons aussi défendre nos intérêts à l’instar des autres peuples, toute initiative qui s’apparente ou de nature à compromettre nos intérêts, sera combattue jusqu’à l’utilisation de la dernière énergie. Les subterfuges qu’utilisent les néo-colons ou, au travers, de leurs suppôts sont connus.
Nous avons retenu les fallacieux prétextes pour tuer Kadhafi et détruire la Libye, le même sort pour Saddam Hussein et la destruction de l’Irak, le saccage de la Syrie, …. Au pays de Compaoré des énergumènes du genre, il y en a à revendre, Feu Sankara peut se retourner autant de fois dans sa tombe. C’est à partir de ce genre d’individus sans foi ni loi qu’un digne fils de l’Afrique comme Thomas Sankara a été assassiné sans oublier Magufuli et bien d’autres.
D’après une source qui a requis l’anonymat, c’est après avoir consommé le fruit défendu apprêté pour la cause, une douceur pour le détendre et le prédisposer psychologiquement, afin qu’il puisse gober sans restriction les arguties habituelles de l’opposition radicale à Bruxelles, qu’il a entamé son œuvre. C’est aussitôt que ses mœurs étaient adoucies qu’il se serait mis au travail illico presto. Il faut sans dire préciser que cette précaution n’était pas nécessaire, en tant que suppôt professionnel fidèle des néo-colons, il se serait acquitté de sa basse besogne, d’autant plus qu’il fait partie des gens de peu de scrupules et très cupides ; pour le lucre, ils feraient n’importe quoi surtout pour l’amour du maître néocolonial, rien ne serait assez beau au besoin, ils se vendraient eux-mêmes pour lui donner satisfaction.
Tout cela c’est pour amorcer le sabotage des futures élections de 2025. Ils n’ont pas digéré l’échec cuisant de l’ADC-Ikibiri en 2010 et du CNARED en 2015, dix ans plus tard, ils veulent foutre la pagaille bien avant cette échéance. C’est une anticipation programmatique tirée de l’ingénierie sociale dans l’optique de préparer les esprits et à partir du prétexte de restauration de l’Accord d’Arusha, constituer une coalition armée à l’instar du M23. Ils seront opérationnels espèrent-ils bien avant ces élections.
Étaient présentes à cette rencontre les organisations politiques suivantes : CNL ancien Palipehutu FNL, MSD la branche politique du RED-Tabara, UPRONA ancien Parti unique lors de la dictature sanglante militaire (pogroms notamment en 1962, 1964, 1965, 1969, 1972, 1988, 1993-2000) les autres n’étant que des mouvements associés de même acabit, MAP-BURUNDI BUHIRE, PPD-GIRIJAMBO, UPD-ZIGAMIBANGA.
C’est un véritable programme politique que ce rapporteur spécial souhaite mettre en place, Très à l’aise dans ce milieu nébuleux et recherché par la justice burundaise et fier comme un paon, il se sentait renaître. Il a souhaité que ces entités politiques lui transmettent des rapports sur la situation socio-économique du Burundi, sur la situation de la sécurité alimentaire au Burundi, sur la pertinence d’un dialogue inter burundais, sur la nécessité d’un contrat social et sur la mise en place d’un mécanisme d’alerte précoce afin de signaler à temps les signaux rouges avant l’éclatement des crises (sic). Visiblement ce Rapporteur spécial n’aime pas les officiels Burundais.
Cet habillage idéologique néocolonial en collaboration avec ces entités politiques qui s’étaient illustrés en 2015 par leurs actions violentes et meurtrières, dont le financement provenait des mêmes milieux néo-colons qui souhaitaient une révolution de couleur au Burundi ne passera pas. Ce sont donc ces repris de justice qui sont dorénavant les sources d’informations pour l’essentiel du travail de ce Rapporteur spécial et qu’il compte évidemment présenter à ses patrons.
A la fin de cette rencontre dit-on, les participants ont partagé des échanges de courtoisie entre eux et ils ont convenu d’organiser régulièrement des rencontres d’échanges et de partage pour renforcer l’esprit d’œuvrer en synergie. Toutefois et quelles que soient les circonstances, si à l’avenir un seul Burundais venait à succomber à cause de leurs arguties il en sera compté, et à titre personnel ce Rapporteur spécial en répondra devant les tribunaux.
A toutes fins utiles, nous tenons à informer ce Rapporteur spécial que le Burundi n’est pas un pays membre de la CEDEAO.
Ruvyogo Michel