Cet édito est un exemple même de ce que l’on appelle travestir l’histoire récente d’un pays:

La case de l’Oncle Dom : tourisme au Burundi, la grande arnaque !

L’édito de Dominique Gobert

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Nous vivons une époque terrible. Chaque occidental qui séjourne une semaine dans un pays subsaharienne en sort estampillé spécialiste.

La promotion permanente du chaos est dévenu le fond de commerce de l’occident: pensez à ce que l’on a fait à la Libye de Kaddafi après avoir empôché ses milions.

Pensez à la côte d’Ivoire de Bagdbo; nous savons aujourd’hui que ce dernier menaçait les juteux contrats des entreprises françaises, en sus de ne pas pouvoir être maître de son économie puisque c’est la France qui bat monnaie de la Côte d’Ivoire.Voyer du côté de médiapart c’est très bien documenté.

Pensez à Pascal Lissouba du Congo, remercié parce qu’il s’intéressait trop aux recettes liées au pétrole congolais. On sait aujourd’hui  que ce petrôle est sous côté par rapport à sa valeur réelle sur le marché.

N’oublions pas les fameuses armes de destructions massives en Iraq.

Pourquoi ne pas dire exactement pouquoi, on n’en veut au petit Burundi. Que le Président qui ne doit surtout pas être aimé par tous a tout de même annulé bon nombre de contrats qui étaient désavantageux pour le Burundi, pour en attribuer aux nouveaux venus sur le continent africain , notamment les Chinois, les Russes.

Pourquoi voudriez vous envoyer des gens devant cette cour de Lahaye, si décrié que le #Burundi lui même a remarqué que c’est un piège à Afrique ainsi, https://www.mediapart.fr/journal/international/dossier/notre-dossier-les-secrets-de-la-cour

Quand aux gens qui fuient, nous autres Burundais on sait, dans un pays qui a passé 40 ans au moins sous une dictature militaire soutenu par les mêmes promoteurs des droits de l’homme d’aujourd’hui, on sait fuir c’est la mêlleure des options. Remarquons quand même qu’après un trésor d’explications et d’explicitation plus des 200000 des 400000, de ces réfugiés sont rentrés chiffres du minist!ère de l’intérieur burundaise n’en déplaise au HCR qui y voient un moyen d’augmenter ses dotations financières.

Bref, le Burundi a ses problèmes et ils trouverait ses réponses si l’occident ne passait pas le clair de son temps à vouloir lui dicter ce qu’il doit faire, non pas dans l’intérêt des #Burundi ais mais bien pour l’intérêt des occidentaux. Les Objectifs de ces derniers n’ont jamais changé depuis l’époque de l’esclavage, en passant par la colonisation: jusqu’à nos jours.

Laissez nous la paix