𝗟’𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗮𝘂 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗿𝗶𝗼𝗿𝗶𝘁𝗲́𝘀
Placée sous la présidence du chef de l’Etat angolais et du Premier ministre japonais, la conférence a mis l’accent sur la nécessité de solutions innovantes pour le développement du continent africain. Les échanges ont porté principalement sur trois piliers : la paix et la sécurité, la société et l’économie d’après Rosine Guillène Gatoni.
𝗟𝗮 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗶𝗯𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗕𝘂𝗿𝘂𝗻𝗱𝗶 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗽𝗮𝗶𝘅
Dans son intervention, le Président Ndayishimiye a rappelé le rôle du Burundi dans la consolidation de la paix en Afrique. Il a évoqué la participation des forces burundaises aux missions de maintien de la paix en Somalie, en République démocratique du Congo et en Afrique centrale. Il a également mis en avant l’accueil réservé par le Burundi aux réfugiés congolais.
𝗗𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗯𝗶𝗹𝗮𝘁𝗲́𝗿𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲́𝗲𝘀
En marge de la conférence, le président burundais a rencontré le Premier ministre japonais. Celui-ci a réaffirmé l’engagement du Japon à soutenir la vision du Burundi émergent à l’horizon 2040 et développé en 2060. Cette rencontre a marqué une étape importante dans le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays.
𝗟𝗲 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗝𝗜𝗖𝗔 𝗲𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀
Le chef de l’Etat s’est également entretenu avec le président de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA). Il lui a présenté les projets prioritaires du Burundi dans les secteurs des infrastructures, de l’éducation, de l’agriculture et de la santé.
Par ailleurs, des parlementaires japonais ont promis leur appui dans les domaines de l’éducation, de la santé, des infrastructures et du tourisme.
L’intérêt des investisseurs privés
Au cours de son séjour, le président Ndayishimiye a eu des échanges avec des investisseurs privés japonais. Ces derniers ont manifesté leur intérêt à investir au Burundi, notamment dans le secteur stratégique du café .
𝗨𝗻𝗲 𝗲𝘅𝗽𝗲́𝗿𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲́𝗲 𝗲𝗻 𝗮𝗴𝗿𝗶𝗰𝘂𝗹𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗲́𝗹𝗲𝘃𝗮𝗴𝗲
Le président burundais a également visité des exploitations agricoles et d’élevage au Japon afin de partager son expérience et s’inspirer des pratiques locales.
Rosine Guillène Gatoni a conclu soulignant que cette visite a permis au Burundi de consolider ses liens avec le Japon et d’ouvrir des perspectives nouvelles pour son développement socio-économique.
