Les détracteurs burundais SINDUMUJA veulent que la justice internationale s’impose au Burundi : Le Ministère Public n’informe plus sur la justice ordinaire

MEDIA, JUSTICE, DÉFENSE – BUJUMBURA, 1/08/2019 – Un comportement étrange remarqué au sein du Ministère Public ou de l’appareil judiciaire burundais : on ne communique plus sur la vie ordinaire des tribunaux burundais depuis quelques mois.  Y a t’il des taupes au sein  du Ministère burundais de la Justice, travaillant avec les détracteurs burundais – SINDUMUJA – ?   Est ce par stratégie ?  De nombreux journalistes patriotes s’inquiètent du manque de communication sur la justice ordinaire que vit le citoyen au Burundi, à travers toutes les 18 provinces du pays, donnant des arguments en faveur des détracteurs de la politique judiciaire burundaise [ http://burundi-agnews.org/justice/burundi-le-ministere-public-ne-presente-plus-la-vie-des-tribunaux/ ].
Ce changement de comportement du Ministère burundais de la justice, car les années précédentes il n’existait pas, interroge certains journalistes patriotes burundais qui essaient de démontrer quotidiennement, sans être payés par l’ETAT, au reste du monde que l’appareil judiciaire burundais fonctionne correctement.
Le Ministère burundais de la justice doit savoir que le monde regarde le Burundi, à quelques mois de ses quatrièmes élections démocratiques burundaises successives depuis 2005, signe d’une très grandes stabilités institutionnelles dans cette région des Grands Lacs Africains. Certains détracteurs du Burundi souhaitent que la justice internationale s’impose à celle du pays, arguant que l’appareil judiciaire burundaise ne remplit pas sa fonction. Ce comportement étrange remarqué actuellement au sein du Ministère Public et de l’appareil judiciaire burundais apporte aux détracteurs du Burundi, les arguments nécessaires pour convaincre leur allier, dans le contexte de globalisation et de guerre géopolitique entreprise contre le pays.

La justice burundaise
La justice burundaise

SOURCES : BURUNDI-AGNEWS.ORG, NAHIMANA P.