Laurent Ggabo ancien chef d’Etat Ivoirien, Jean Pierre Bemba, ancien vice-président Congolais, Charles Tylor ancien chef d’Etat Libérien et les autres comparaissent mennonites et pris en sandwich par des policiers Européens pour être interrogés par de petits juges qui les écoutent pour les écouter, alors que la sentence est tombée depuis que leur mandat d’arrêt international avait été rendu public.
Il faut constater que tout tourne autour des violations des droits de l’homme. Et qui finance les guerres ? Et qui les planifie ? Ce sont ces criminels qui deviennent des juges et condamnent sans pitié quiconque essaient de mettre le nez dans leur assiette.
Au Burundi, c’est le même cas pour d’autres pays africains qui ont vu leurs gouvernements tomber et leurs dirigeants conduits à la Haye. Nul n’ignore que les Libyens souhaitent aujourd’hui revoir Kadhafi ressuscité, les Ivoiriens Ggabo au pouvoir et les autres. Tous ceux qui ont déjoué le coup d’Etat du 13 mai 2015 sont dore et déjà dans les collimateurs de la CPI. Un plan d’élimination d’opposants pour la mettre sur le dos de ces derniers a été concocté dans les laboratoires de cette juridiction.
Au regard de tout ce qui s’est passé depuis 2012 a 2015, l’exécutif burundais a délibéré, le législatif a adopté, le peuple a manifesté un soutien chaleureux a la décision prise par ses élus.
Samedi 15 octobre 2016 en mairie de Bujumbura, une marée humaine est descendue dans la rue pour manifester son ras-le bol contre les rapports rendus publics par les fonctionnaires de l’une des branches du Bureau des Nations Unies au Burundi, brandissant pancartes et banderoles sur lesquels on pouvait lire : « La CPI est un instrument fabriqué pour humilier les dirigeants Africains qui résistent contre la recolonisation ». D’autres : ‘ «’La CPI est un instrument juridique visant a permettre les Européens à faire main basse sur les richesses du continent africain. »
Dans la foulée, de cet événement qui a mis en ébullition tout Bujumbura et mobilisé tous les medias, le président de la République du Burundi Pierre Nkurunziza a promulgué le projet adopté par le parlement a 94 voix pour, 2 contre et 14 abstentions. Preuve qu’au sein du parlement comme a l’opposition tous les violons ne s’accordent pas. Démocratie oblige. Maya, Pablo et Christophe employés de l’office des Nations Unies aux Droits de l’’Homme, architectes de ces faux rapports dénués de tout fondement se sont vus déclarés persona no grata sur le sol burundais.
J’ose écrire qu’ils ne sont pas les premiers et les derniers. Le vaste complot international se poursuit, mais j’ose également espérer qu’il n y’aura pas de combat au Burundi faute de combattants. Mais que le dialogue se poursuivra entre ceux qui le veulent et qui militent pour la sauvegarde de la paix, condition sine qua none pour le développement. Et voilà, l’Afrique du Sud quitte elle aussi la CPI et espérons qu’elle n’est pas la dernière.
A bientôt et bonne soirée a tous sœurs et frères.
L’Afrique du Sud emboite le pas au Burundi en se retirant de la CPI
Laurent Ggabo ancien chef d’Etat Ivoirien, Jean Pierre Bemba, ancien vice-président Congolais, Charles Tylor ancien chef d’Etat Libérien et les autres comparaissent mennonites et pris en sandwich par des policiers Européens pour être interrogés par de petits juges qui les écoutent pour les écouter, alors que la sentence est tombée depuis que leur mandat d’arrêt international avait été rendu public.
Il faut constater que tout tourne autour des violations des droits de l’homme. Et qui finance les guerres ? Et qui les planifie ? Ce sont ces criminels qui deviennent des juges et condamnent sans pitié quiconque essaient de mettre le nez dans leur assiette.
Au Burundi, c’est le même cas pour d’autres pays africains qui ont vu leurs gouvernements tomber et leurs dirigeants conduits à la Haye. Nul n’ignore que les Libyens souhaitent aujourd’hui revoir Kadhafi ressuscité, les Ivoiriens Ggabo au pouvoir et les autres. Tous ceux qui ont déjoué le coup d’Etat du 13 mai 2015 sont dore et déjà dans les collimateurs de la CPI. Un plan d’élimination d’opposants pour la mettre sur le dos de ces derniers a été concocté dans les laboratoires de cette juridiction.
Au regard de tout ce qui s’est passé depuis 2012 a 2015, l’exécutif burundais a délibéré, le législatif a adopté, le peuple a manifesté un soutien chaleureux a la décision prise par ses élus.
Samedi 15 octobre 2016 en mairie de Bujumbura, une marée humaine est descendue dans la rue pour manifester son ras-le bol contre les rapports rendus publics par les fonctionnaires de l’une des branches du Bureau des Nations Unies au Burundi, brandissant pancartes et banderoles sur lesquels on pouvait lire : « La CPI est un instrument fabriqué pour humilier les dirigeants Africains qui résistent contre la recolonisation ». D’autres : ‘ «’La CPI est un instrument juridique visant a permettre les Européens à faire main basse sur les richesses du continent africain. »
Dans la foulée, de cet événement qui a mis en ébullition tout Bujumbura et mobilisé tous les medias, le président de la République du Burundi Pierre Nkurunziza a promulgué le projet adopté par le parlement a 94 voix pour, 2 contre et 14 abstentions. Preuve qu’au sein du parlement comme a l’opposition tous les violons ne s’accordent pas. Démocratie oblige. Maya, Pablo et Christophe employés de l’office des Nations Unies aux Droits de l’’Homme, architectes de ces faux rapports dénués de tout fondement se sont vus déclarés persona no grata sur le sol burundais.
J’ose écrire qu’ils ne sont pas les premiers et les derniers. Le vaste complot international se poursuit, mais j’ose également espérer qu’il n y’aura pas de combat au Burundi faute de combattants. Mais que le dialogue se poursuivra entre ceux qui le veulent et qui militent pour la sauvegarde de la paix, condition sine qua none pour le développement. Et voilà, l’Afrique du Sud quitte elle aussi la CPI et espérons qu’elle n’est pas la dernière.
A bientôt et bonne soirée a tous sœurs et frères.
Lu pour vous, Ruvyogo Michel