Face aux habitudes et pratiques de certains fonctionnaires internationaux qui, apparemment, n’ont de compte à rendre qu’à eux-mêmes et leurs consciences mais là on peut en douter, la diaspora burundaise résidant aux Etats Unis, vient de saisir par burundo-americains_2_.pdfune lettre le Secrétaire Général de l’ONU pour qu’il exige à ces fonctionnaires un minimum de déontologie professionnelle et un zest d’honnêteté intellectuelle lors de l’accomplissement de leurs missions notamment quand ils produisent sciemment des faux rapports qui peuvent compromettre la paix, la stabilité des pays ou l’intégrité physique des populations.
En guise d’exemple, il n’y a pas longtemps un rapport tendancieux, manipulateur, dangereux et mensonger avait été concocté par trois personnes sans scrupules dit « final » de l’Enquête indépendante des Nations Unies sur le Burundi (EINUB). Ce dernier affirmait que ces experts avaient d’abondantes preuves de violations graves des droits de l’homme, voire un génocide en cours commis à grande échelle, par le gouvernement burundais et des personnes qui lui sont associées, à ce jour on attend encore qu’ils fournissent ces preuves de génocide.
Ruvyogo Michel