Pour plus d’explications, Gervais Ndirakobuca a précisé que le présent projet de loi en question vient corriger les lacunes de l’ancienne loi afin de se conformer à la nouvelle constitution du 7 juin 2018, en y intégrant l’organisation des services de la vice-présidence et de la primature.
Pour être explicite, il a fait savoir que l’ancienne loi sur l’organisation générale de administration publique est “en contradiction avec certaines dispositions de la nouvelle constitution, particulièrement sur la nomenclature et de la composition de la superstructure de la république du Burundi (existence des postes du vice-président et de la primature)”.