Il a ajouté que pour être dans la catégorie des pays émergent en 2040 qui est une vision du gouvernement , ils se sont fixés l’objectif d’atteindre un taux d’urbanisation d’au moins 40% avec une population actuelle de 12 millions vivant au Burundi, moins de 1700 000 personnes habitent dans les villes.
Dieudonné Dukundane a fait savoir que parmi les défis qui ont empêché le Burundi à avoir un secteur développé figurent entre autres la problématique foncière, le mécanisme de financement qui sont contraignants, les parcelles qui sont vendues avec des coûts élevés etc..
Le ministre en charge des logements sociaux a précisé qu’on ne pourra pas continuer à construire de façon anarchique, que même les pays qui sont développés ont adopté la stratégie de construire des maisons en appartement d’où cette nouvelle politique nationale de logement avec des maisons qui seront construites en hauteur.
Le ministre en charge des infrastructures Dieudonné Dukundane, a indiqué que d’ici la fin de l’été de l’année 2023, ils espèrent débuter les activités de cette nouvelle politique nationale de logement et les acteurs qui sont impliqués dans cette politique sont : l’Etat, les institutions de financement, les sociétés de constructions, les acquéreurs et les prestataires de service.
Le ministre des infrastructures a fait savoir qu’ils construiront des maisons de toutes les catégories, les maisons simples qui seront accessible et qui seront payées aux environs de 30 à 40.000.000,des maisons V.I.P et VVIP. Il a ajouté que la valeur de la maison dépendra aussi des prix des matériaux de construction sur le marché.
