C’est l’histoire d’un combat : l’emprise de la GUAN sur le Burundi – Une lutte pour la souveraineté
Gitega, 9 juin 2023 – AGNEWS relate l’histoire du Burundi et son combat contre l’emprise de la Globalisation Unipolaire Américaine Néolibérale (GUAN) [1]. Il évoque les différentes périodes marquantes de l’histoire du Burundi, notamment la colonisation par les puissances européennes, le génocide régicide, les changements de régimes et les influences étrangères.
AGNEWS souligne le rôle de la GUAN, représentée par les États-Unis, dans la domination économique et politique mondiale. La GUAN est décrite comme une force qui cherche à unifier les puissances économiques américaines et à contrôler les pays du monde par le biais d’institutions internationales telles que l’ONU, la Banque Mondiale,la CPI etc.
AGNEWS met en évidence les conséquences de la GUAN sur le Burundi, notamment les assassinats de présidents, la guerre civile, les coups d’État, le déplacement forcé des populations (les réfugiés), la guerre humanitaire et la balkanisation de la région des Grands Lacs. Les Barundi présentés tentent tant bien que mal de résister aux valeurs de la GUAN et à s’attacher à leur philosophie d’Ubuntu.
Cependant, AGNEWS souligne également un changement géopolitique international majeur depuis la guerre en Ukraine en 2022, avec l’émergence des BRICS comme premier pôle économique mondial, offrant un espoir de multipolarité et de moins grande domination de la GUAN sur les marchés mondiaux.
Dans ce contexte , la GUAN est considérée comme responsable de l’emprise et des conséquences néfastes qu’elle a eues sur le Burundi, ainsi que sur d’autres pays de la région des Grands Lacs en Afrique.
Retour sur les faits …
1879 : Des missionnaires français (de France et du Vatican) ainsi que des militaires anglais (du Royaume-Uni) arrivent au Burundi dans le but de conquérir les terres de Mwezi Gisabo [2].
1919 : La Belgique reçoit, de la part du Royaume-Uni, des États-Unis et de la France, le 21 août 1919 (en tant que membres de la Société des Nations – SDN), un mandat pour administrer les territoires qu’elle occupe désormais au Ruanda-Urundi [3].
1922 : Le Burundi perd son territoire donnant accès au lac Nyanza (qui est devenu le lac Victoria) au profit du Royaume-Uni, qui administre le Tanganyika (l’actuel Tanzanie).
Entre 1959 et 2005 : Le Burundi est victime d’un génocide régicide orchestré par les États-Unis, le Vatican, la France et la Belgique, entraînant la mort de plus de 4,5 millions de Burundais sur une population totale actuelle de plus de 9 millions d’habitants.
* 1965-1966 : Un coup d’État militaire est organisé pour mettre fin à l’état traditionnel des Barundi – l’Ingoma y’Uburundi – par des élèves militaires formés à Saint-Cyr (liés au réseau burundais de Jacques Foccart en France) [6]. Ce réseau Foccart burundais collabore avec les États-Unis, le Vatican et la Belgique et exerce une influence sur le Burundi jusqu’en 2003.
* 1989 : La Globalisation Unipolaire Américaine Néolibérale (GUAN), également connue sous le nom d’Empire des États-Unis, émerge avec la chute de l’URSS. Après la colonisation du monde lancée au XVe siècle par le pape Nicolas V, les empires européens (Vatican, Espagne, Portugal, Angleterre, France, Hollande, Suède et Danemark) ont dominé entre le XVIIe et le XVIIIe siècle. Les États-Unis prennent maintenant le relais. En 1989, dans l’esprit ambiante de la Convention de Washington, les multinationales et les ONG sont créées. La GUAN déploie pleinement son influence jusqu’à la fin des années 1990. La GUAN fait référence aux détenteurs du pouvoir aux États-Unis, tels que les propriétaires de la Réserve fédérale (FED) – les familles milliardaires Rockefeller, Rothschild et la famille royale d’Angleterre – qui s’appuient sur les institutions américaines ( Maison Blanche, Congrès, Pentagone, USAID, etc.) pour unifier d’autres milliardaires américains influents (Warren Buffett , Michael Bloomberg, George Soros, Bill Gates et Melinda French Gates, MacKenzie Scott, Jeff Bezos, Ted Turner, Richard Branson etc.) impliqués dans plusieurs secteurs ou marchés (finance, énergie, industrie extractive, agroalimentaire, immobilier, pharmaceutique, médias, militaire, données, industrie militaires, foncier, etc.) avec leurs multinationales et fondations, en les associant à l’ONU (et ses organes ) et aux institutions de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale, OMC). Sous la supervision des États-Unis, ils ont lancé des initiatives globales ou des projets socio-économiques visant à toucher tous les secteurs de l’économie de marché qui les intéressent. Parmi ces projets, on retrouve les Objectifs de Développement Durable (ODD) issus du Pacte mondial de l’ONU de 1999, liés aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) de 1998, la Révolution Verte en Afrique, les Villages du Millénaire pour le développement, etc., dans le but de positionner les États-Unis comme leader mondial sur tous les marchés du système économique mondial. Le milliardaire Soros [4], avec son Soros Fund Management LLC et sa fondation Open Society établie dans 120 pays, a pour mission d’intégrer à la GUAN toutes les Economies Sociales de tous les pays du monde, avec le soutien de l’USAID. Les économies sociales comprennent la société civile, les médias, les partis politiques, les entreprises et les structures de santé. L’idée est que si les économies sociales des différents pays du monde sont financièrement entretenues, la GUAN pourra exercer un contrôle politique sur ces États. En cas de problème politique, le recours au soft power sera possible en organisant des révolutions de couleur ou un changement de régime par l’élection d’un candidat lié à la GUAN. Le Pentagone et les ambassades américaines auront pour mission d’utiliser le hard power en organisant un changement de régime par un coup d’État militaire. L’ONU intervient également pour inciter les peuples du monde à adopter une pensée libérale ou néolibérale, notamment à travers le PNUD et le Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Avec la création de la CPI en 1998, la GUAN utilise cette institution pour mener des guerres humanitaires [5] contre les pays qui ne se soumettent pas à sa domination. La GUAN s’infiltre dans toutes les Cours Suprêmes nationales et les Hautes Cours de Justice des grandes organisations (Union européenne, Union africaine, EAC, etc.) afin de pouvoir changer les normes juridiques pour établir les valeurs du libéralisme et du néolibéralisme dans le monde.
* 1989 : La GUAN lance la guerre pour le contrôle de l’Afrique. La France est affaiblie. Mitterrand prononce son discours de La Baule pour essayer de maintenir sa « France-Afrique » en utilisant les constitutions des pays africains. Le Burundi de Buyoya était sous l’influence de la France depuis 1965 (avec le réseau burundais de Foccart).
* 1993 : La GUAN assassine NDADAYE Melchior, président du Burundi, pays sous influence française. La guerre civile éclate au Burundi.
* 1994 : La GUAN assassine NTARYAMIRA Cyprien, président du Burundi, et HAVYARIMANA Juvénal, président du Rwanda. Le génocide au Rwanda se déroule. Le Rwanda passe sous le contrôle de KAGAME Paul, un agent de la GUAN. La France entre en conflit avec la GUAN et la Belgique se plie à la GUAN.
* 1996 : BUYOYA (soutenu par la France) évince BAGAZA lors d’un coup d’État militaire au détriment de la GUAN. NTIBATUNGANYA Sylvestre, président du Burundi, se réfugie à l’ambassade des États-Unis au Burundi. BUYOYA organise des camps de concentration au Burundi, où 1,5 million de Barundi sur 6 millions d’habitants sont internés. De nombreux enfants, femmes et personnes âgées meurent des suites de maladies et de désespoir chez les plus âgés. La France forme une armée à dimension africaine appelée RECAMP, soutenue par l’ONU en réponse à l’ACRI du Pentagone (États-Unis), qui deviendra l’AFRICOM aujourd’hui.
* 1997 : Un Burundais d’origine rwandaise, Sebudandi Christophe, organise la société civile et les médias burundais en les mettant au service de la GUAN.
* 1998 : Les États-Unis, le Royaume-Uni (Tony Blair et Bill Clinton) et Jacques Chirac à Saint-Malo en décembre 1998 font la paix avec la France. La France se retire de l’Afrique. La GUAN l’emporte. L’AFRIQUE appartient désormais à la GUAN (et depuis Sarkozy et Macron, la France s’est stratégiquement pliée à la GUAN). Toujours en 1998, la GUAN crée la Cour pénale internationale (CPI).
* Entre 1999 et 2000 : La GUAN , à travers les ODD et de nombreux autres projets socio-économiques à l’échelle mondiale, s’amorce dans le monde entier.
* 2000 : Sous l’égide de la GUAN, l’Accord d’Arusha de 2000 est signé en Tanzanie. BUYOYA, président du Burundi, écrit « Mission possible : construire une paix durable au Burundi » et l’intellectuel burundais Sindayigaya Jean-Marie écrit « Mondialisation : le nouvel esclavage de l’Afrique ». Tous deux font référence à leur manière à la GUAN…
* 2001 : BUYOYA démantèle les camps de concentration au Burundi.
* 2003 : Fin de la guerre civile du Burundi, qui a commencé en 1993. Le CNDD-FDD ( formation politique des adversaires du régime ) entre dans les institutions sous l’égide de la GUAN à travers l’Accord d’Arusha de 2000 signé par Bill Clinton, président des États-Unis, et Nelson Mandela (qui a été un atout majeur de la GUAN en Afrique du Sud).
De 2005 à 2015, l’Economie Sociale burundaise ( c’est à dire société civile, partis politiques, médias, entreprises, etc.), instaurée, liée, et financée depuis 1997 ( cfr. Sebudandi) par la GUAN, a créé des difficultés au pouvoir du CNDD-FDD. Les modifications des codes fonciers et miniers, ainsi que l’ouverture du CNDD-FDD à la Chine, ont conduit à une révolution de couleur et à un coup d’État militaire raté le 13 mai 2015, organisés par la GUAN. Son Excellence Nkurunziza Pierre, qui a su résister à la GUAN en 2015, est considéré comme un véritable sauveur du Burundi, tout comme son ami le Lieutenant Général Nshimirimana Adolphe, suivant ainsi l’exemple d’autres grandes figures historiques du Burundi, telles que Mwezi Gisabo Gisonga et Bihome [2], face aux colons allemands au XIXe siècle, Mutaga Rutamo Senyamwiza Sebitungwa face aux Bahinda/Banyiginya du Rwanda au XVIIIe siècle, ou encore Ntare Rushatsi face à Ruhinda des Bahinda du Karagwe au XVIe siècle. Sans ces sauveurs, le Burundi, ou Ingoma Y’Uburundi (l’État traditionnel des Barundi), aurait été sous domination étrangère. Victime de la GUAN, comme d’autres avant lui tels que Ndadayé Melchior, Ntaryamira Cyprien et les millions de victimes barundaises de la guerre civile du Burundi, ainsi que son idole Hugo Chavez, autre grand patriote du XXIe siècle également emporté par la maladie, Son Excellence Nkurunziza Pierre est décédé prématurément le 8 juin 2020, victime d’une crise cardiaque inexpliquée, probablement liée à un empoisonnement biochimique.
Entre 2015 et fin 2021, le Burundi a été victime d’une guerre humanitaire visant à étouffer socialement et économiquement le pays. Pendant ce temps, Nkurunziza Pierre, président du Burundi, décède mystérieusement d’une crise cardiaque en 2020, une année où la GUAN, en conflit avec la Chine, gère la pandémie de COVID. Les présidents MAGUFULI de Tanzanie ont également été ciblés par la GUAN cette année-là, tout comme BUYOYA Pierre qui avait échoué dans le coup d’État militaire de la GUAN en 2015…
Poussant ainsi le CNDD-FDD du Burundi à rechercher une protection contre la GUAN du côté de la RUSSIE et de la CHINE. En 2017, le Burundi se retire de la Cour pénale internationale (institution de l’ONU) en raison de l’ingérence de la GUAN. Fin novembre 2021, la GUAN met fin à la guerre humanitaire contre le Burundi.
De 2022 à aujourd’hui, le Burundi du président Ndayishimiye ouvre la porte à la GUAN [7]. En 2023, la question géopolitique de l’agression du Rwanda au Nord-Kivu en RDC via le M23 suscite des dissensions au sein de l’EAC, notamment en raison de certains pays membres de l’EAC qui sont entièrement sous l’influence de la GUAN. Lors du déploiement de la force de défense de l’EAC au Nord-Kivu, dont la mission était de neutraliser le M23, certains pays déployés ont affiché des comportements favorables au Rwanda en raison de leur alliance avec la GUAN, à l’instar du Rwanda. Cela a suscité un malaise palpable lors des discussions sur la résolution à adopter concernant la RDC lors du sommet de Bujumbura en juin 2023. Ces pays, tels que le RWANDA, le KENYA, l’OUGANDA, etc., agissent en faveur de la politique de balkanisation de la RDC soutenue par la GUAN.
En conclusion, pour les Barundi, cette globalisation GUAN ou Empire des États-Unis est tenue pour responsable de la mort des présidents Ndadaye Melchior et Ntaryamira Cyprien, de la guerre civile au Burundi de 1993 à 2023, ainsi que de ses nombreuses victimes. Elle est également responsable de la révolution de couleur de 2015, du coup d’État militaire manqué du 13 mai 2015, de la guerre humanitaire qui s’ensuit, ainsi que des décès du Lieutenant Général Ndayishimiye Adolphe et du président Nkurunziza Pierre. La GUAN, avec sa culture néolibérale américaine « atomique » (l’individualisme cfr libéralisme occidental ) , en particulier celle du « wokisme » [8], est diamétralement opposée aux valeurs « moléculaires » [9] d’Ubuntu des Barundi. De plus, selon une tradition ancestrale barundaise, une lignée se fortifie par sa descendance – « Imbuto ibutura amagara » – et un seul enfant ne constitue pas un lignage – « umwana umwe ntaba umuryango ». La région des Grands Lacs en Afrique est constamment confrontée à l’insécurité, une situation largement attribuée à la GUAN, en conflit avec la Chine et ses routes de la soie en Afrique. La GUAN a programmé la balkanisation de la RDC et le changement de régimes au Burundi et en Tanzanie.
Aujourd’hui, la bonne nouvelle est que le contexte géopolitique international a changé. Depuis la guerre en Ukraine en 2022, le monde a basculé de la GUAN vers l’espoir d’un monde multipolaire avec les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), qui sont devenus le premier pôle économique mondial. Cela signifie que les marchés mondiaux ne sont pas tous entre les mains des milliardaires de la GUAN.
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NOTES :
[1] La GUAN, abréviation de la Globalisation Unipolaire Américaine Néolibérale, représente l’emprise des États-Unis sur la globalisation économique et politique depuis 1989 jusqu’à 2022. Ce concept désigne les détenteurs de pouvoir aux États-Unis, notamment les propriétaires de la Réserve fédérale (FED), tels que les familles Rockefeller et Rothschild, ainsi que la famille royale d’Angleterre. Ils s’appuient sur des institutions américaines telles que la Maison Blanche, le Congrès, le Pentagone et l’USAID pour unifier les autres milliardaires américains influents et les associer à l’ONU (et ses organes tel Conseil de Sécurité, PNUD, Conseil des Droits de l’Homme etc.) ainsi qu’aux institutions de Bretton Woods (FMI, BM, OMC). À travers leurs multinationales, leurs fondations et leurs fonds, ils cherchent à conquérir le monde en mettant en place des projets socio-économiques visant à étendre la domination économique américaine dans divers secteurs et marchés mondiaux.
En plus de leur objectif de devenir un leader économique mondial, il y a l’idée de l’Empire US … La GUAN cherche à imposer les valeurs du libéralisme et du néolibéralisme à l’échelle mondiale. Elle vise à contrôler les économies sociales de tous les pays du monde afin d’étendre sa sphère d’influence. La GUAN utilise à la fois le soft power et le hard power pour changer les régimes politiques, mener des guerres humanitaires et infiltrer les institutions judiciaires et politiques afin de parvenir à ses fins.
[2] Guerre coloniale Vatican – Allemagne contre iNGoMa Y’uBuRuNDi / BuRuNDi : Les batailles de 1879 à 1903 | https://burundi-agnews.org/ganwa/guerre-coloniale-vatican-allemagne-contre-ingoma-yuburundi-burundi-les-batailles-de-1879-a-1903/
[3] BuRuNDi : La Belgique reçoit le mandat du RuaNDa-uRuNDi en 1919 | https://burundi-agnews.org/genocide/burundi-la-belgique-recoit-le-mandat-du-ruanda-urundi-en-1919/
[4] Courrier n°64 – Juin 2023 – Kairos Europe WB – Pas de justice … ,sans justice fiscale ! | https://kairoswb.com/actualite/courriers/courrier-n64-juin-2023-kairos-europe-wb-pas-de-justice-sans-justice-fiscale/
[5] La Guerre Humanitaire contre le Burundi de 2015 à 2021 | https://burundi-agnews.org/guerre-humanitaire/
[6] Génocide-Régicide : Simbananiye Arthémon, un – hitler – du Burundi, sort un livre au Canada | https://burundi-agnews.org/diplomatie/genocide-regicide-simbananiye-arthemon-un-hitler-du-burundi-sort-un-livre-au-canada/
[7] Bilan : Pourquoi le Burundi, de 2020 à 2023, plonge dans les bras de la Globalisation ? https://burundi-agnews.org/bilan/bilan-pourquoi-le-burundi-de-2020-a-2023-plonge-dans-les-bras-de-la-globalisation/ | Burundi / Diaspora : Michela Wrong dénonce le régime Kagame à Bruxelles – https://burundi-agnews.org/diaspora/burundi-diaspora-michela-wrong-denonce-le-regime-kagame-a-bruxelles/ | Burundi / Guerre Humanitaire : Visite du Rapporteur Spécial de l’ONU pour les DH à Bruxelles – https://burundi-agnews.org/globalisation/burundi-guerre-humanitaire-visite-du-rapporteur-special-de-lonu-pour-les-dh-a-bruxelles/
[8] Le wokisme ou woke réfère à une personne qui est perçue comme étant consciente des inégalités et des injustices sociales, en particulier celles qui concernent les questions de race, de genre, de sexualité et d’autres formes de discrimination ou de marginalisation. Le wokisme favorise une culture de l’annulation (cancel culture). Ex. sensibiliser à des problèmes tels que le changement climatique, le sexisme, l’homophobie, le transphobie, la défense des droits des personnes LGBTQ+ et d’autres formes de discrimination.
Pour les LGBTQ+ : Reconnaissance et respect de l’identité de genre ( respecter les pronoms préférés d’une personne et à reconnaître les identités de genre non-binaires ) ; Défense des droits LGBTQ+ : Cela peut inclure la défense du mariage pour tous, l’égalité des droits en matière d’adoption, l’opposition à la discrimination basée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, et le soutien à des politiques qui protègent les personnes LGBTQ+ contre le harcèlement et la violence ; Éducation à la diversité sexuelle : L’introduction dans les programmes scolaires d’enseignements sur la diversité des orientations sexuelles et des identités de genre, ainsi que sur l’histoire et les luttes des personnes LGBTQ+ ; Soutien aux athlètes transgenres ( L’opposition à des politiques sportives qui pourraient exclure les athlètes transgenres de la compétition ) etc
[9] L’unité ou l’union implique au moins deux personnes – “Ubumwe bugira babiri” – ; seuls deux êtres humains constituent une famille – “Urugo rugira babiri” – ; un seul pilier ne peut jamais construire une maison – “Inkingi imwe ntigira inzu” – ; une seule tête ne peut assister seule à une réunion – “Umutwe umwe ntiwigira inama” – etc. | https://www.burundi-forum.org/92506/burundi-les-pays-bas-sengagent-dans-la-sante-sexuelle-et-reproductive/
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Sources : Nahimana P. , http://burundi-agnews.org, Vendredi 9 juin 2023 | Images : Getty Images, soirmag.lesoir.be, wikipedia