Un signe peut être!
Un des journaux main stream qui était fer de lance dans la stigmatisation du Burundi, c’était « Jeune Afrique« . Cet hebdomadaire qui destine ses informations aux Africains est fer de lance dans la propagations d’informations informelles, officieuses, vraisemblables sur pas mal de coins en Afrique.
Ces 5 dernières années; ce journal, s’était beaucoup plus illustré pour encenser le Rwanda au nord sur ses supposés spectaculaires progrès et diaboliser le Burundi, certainement la charte de l’impérialisme est passée par là.
Jeune Afrique donc qui nous avait habitué à sortir de tous ses bois pour nous dire combien un génocide était supposé être imminent; s’est probablement rendu compte que le scénario volontairement alarmiste devrait certainement émaner des sbires de ceux qui appliquent quasi à la lettre la ‘fameuse charte de l’impérialisme’ évoquée ci haut.
Du référendum, de mai 2018, les tenants de ces chimères croyaient que la pseudo popularité de ceux qui organisaient les manifestations violentes dans la ville de Bujumbura allait se transformer en un rejet du texte proposé par Bujumbura; ainsi démontrer l’impopularité des gouvernants actuels. Que neni, cela a été plutôt un plébiscite pour ce texte. Et plus est, ce référendum comme les élections de 2015 ont été organisés sur fonds propres des Burundais. Démonstration donc à suffisance que le mensonge prend toujours l’ascenseur et la vérité l’escalier; et que malgré tout elle finit par arriver.
Ce serait étonnant que ces Dames et Messieurs qui campent à l’ONU continuassent à perdre du temps sur le cas Burundi. Néanmoins, les objectifs géostratégiques de certains(entre autres, les Français et les Belges) pourraient justifier le maintien du Burundi à l’agenda des Nations Unies.
Ces derniers(Belgique et France) ont très mal digéré le gel et la suspension de certains contrats miniers ainsi que la révision du code foncier et les lois relatives aux mines(lois qui dataient pour certains du début du siècle dernier).
Mais, les Burundais ont à présent démontré qu’ils ne sont pas dupes, qu’il y a une majorité qui comprend où sont les intérêts des Burundais.