« Excellence Monsieur le Président, nous prenons encore cette occasion pour démentir certains politiciens et médias qui se sont transformés en porte-parole des réfugiés burundais se trouvant à l’extérieur du pays en disant souvent que les réfugiés ne veulent pas rentrer au pays natal, croyant en faux, que la cause du refuge reste, alors que dès notre arrivée en exil, personne parmi eux n’a pu arriver au camp pour constater la vie misérable que nous menons.. » paragraphe 4 de la pétition des filles et fils de notre patrie le Burundi qui sont en otage au camp des réfugiés burundais de Mahama.
Marguerite BARANKITSE, l’élément nuisible des Burundais en général et de ceux qui sont en otage au camp dit de réfugiés à Mahama et ailleurs.
Cette dernière, sur l’écran de Télé-Renaissance, ose dire sans mâcher ses mots que la volonté de rentrer dans le bercail des filles et fils du Burundi constitue un acte de trahison.
Ces réfugiés courageux ont reconnu être pris en otage par cette femme tutsi sans « ubuntu » ! Il n’y a pas de terme adéquat en français pour décrire son animosité et sa haine viscérale envers les Hutu.
Elle se déguise en mouton (bienfaiteur) alors qu’elle est un loup rapace qui n’a pas honte de ravir les enfants du pays et de les mettre dans un camp au 21ème siècle, comme à la période de l’esclavage.
Dans ses propos, elle vient jouer au pompier pour un feu qu’elle a allumé et activé. Peine perdue ! Elle est démasquée ! Pour le HCR et les autres organisations internationales qui croyaient à tort en elle, c’est l’heure de se ressaisir et de revoir leur évaluation. Marguerite et ses acolytes doivent renoncer à leurs intérêts sadiques et laisser les filles et fils du Burundi rentrer dans leur bercail.
« Nous sommes informés, jour après jour, que la paix règne sur toute l’étendue de la République que vous avez l’honneur de diriger au plus haut sommet. » Paragraphe 5 de la pétition.
Depuis 2005, les Burundais cohabitent pacifiquement. La manne nationale est plus ou moins partagée presque dans l’équité suivant les accords d’Arusha et de Pretoria malgré la part du lion réservée aux Tutsi via les accords d’Arusha et quelques vices dans leur mise en application.
Pourtant, les extrémistes tutsi comme Marguerite BARANKITSE, n’ont jamais cessé de torpiller la paix au Burundi en se cachant surtout derrière la société civile et les médias mensongers. Cela, pour apaiser leur soif de voir le Burundi où le Hutu n’a pas la dignité d’être burundais, n’a pas le droit de participer à la gestion de la chose publique.
Le paroxysme étant les insurrections généralisées dans les milieux tutsi et le coup d’Etat manqué de 2015 sans parler des chantages et médisances sur le Burundi et ses autorités.
Revenons sur ces chantages et médisances sur le Burundi et ses autorités ! Les extrémistes tutsi comme Marguerite BARANKITSE n’ont ni peur ni honte de dire à haute voix que le Gouvernement du Burundi est totalement hutu en enterrant les accords d’Arusha qu’ils défendent bec et ongles alors que, eux, les ont signés avec des réserves. Ils affirment que les Imbonerakure, jeunes du parti au pouvoir CNDD-FDD, forment une milice hutu. Et d’ailleurs, selon eux, tout hutu est Imbonerakure.
Ils n’ont pas honte de mentir que le Burundi vit dans l’insécurité totale et dans le chaos, alors que la paix règne sur tout le territoire national et que la vie continue normalement.
Ces génocidaires de 1972 (avant et après) rêvent toujours de verser le sang des Hutu et sacrifient les Tutsi qui ne sont pas de leur côté. J’attends un Tutsi qui va condamner leurs agissements barbares.
Les Burundais exilés par cette vieille fille dite Maggy ont levé le voile sur leur visage. Ils ont compris qu’ils sont en otage. Je parle surtout de Celeus HATUNGIMANA, ce courageux lettré et instruit qui est pris pour cible principale à cause de son courage.
Depuis quand les aides accordées aux réfugiés sont devenues des crédits à rembourser ? Cette aide provient-elle de ses propres poches ? Ne sont-ils pas des dons qu’elle collecte soi-disant pour le compte de ces réfugiés ? Elle vient de révéler, malgré elle, la nature de ces aides : des miettes laissées aux Burundais pris en otage à Mahama.
Marguerite BARANKITSE se trouve dans une villa en Europe en train d’amasser des fonds en vendant la misère de ses compatriotes. La misère provoquée par elle et ces extrémistes tutsi qui rêvent toujours d’un Burundi sans les Hutu.
Je cite : « Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. » Jean Jaurès.
Félicitation à nos chers compatriotes (toujours au camp de Mahama) de votre courage ! Vous allez regagner notre mère patrie le Burundi et vous serez bien accueillis !
Le « gouvernement Mvyeyi » est pour nous tous. J’invite Marguerite à avoir le cœur des humains et abandonner son extrémisme envers les Hutu et ainsi comprendre qu’il ne faut pas attendre la mort de tous les Hutu et la chute du gouvernement issu des urnes pour regagner le pays. Les Bahutu existent et existeront et aussi les Batutsi et Batwa.
Par son comportement hypocrite caractérisant aussi les Tutsi extrémistes, Maggy a été décorée. Le loup ne peut pas cacher longtemps ses canines. Voilà qu’elle se démasque elle-même !
Le Rwanda et le HCR, qu’ils fassent preuve de compassion et laissent se réaliser la liberté voulue par ces Burundais.
« Avant de clore cette demande, nous avons la gratitude envers le Rwanda, pays hôte pour le service qu’ils nous ont rendu pendant les cinq ans,… » paragraphe de la pétition.
En les accueillant, le Rwanda a fait preuve de bienveillance et aucun Burundais ne peut lui manquer de gratitude. La franche collaboration dans la libération de ces réfugiés sera une bonne étape pour l’assainissement des relations entre nos deux pays frères malgré que le Rwanda ait été dupé par ces extrémistes tutsi et se soit fourvoyé en les appuyant.
Au Burundi, nous ne sommes plus à l’heure des chicaneries ethniques comme à l’époque des « gouvernement et armée exclusivement tutsi ». Cette époque est révolue. Tout le monde se sent chez lui et participe aux activités de développement de sa patrie.
Que Marguerite BARANKITSE soit singleton dans ses agissements extrémistes et nuisibles pour le Burundi.
La voix d’une victime du génocide de 1972 (avant et après).
Lu pour vous sur facebook, Ruvyogo Michel