Il y a des cabales que seuls les bien pensants peuvent ourdir sur cette planète terre.
Depuis 2014, cette fédération parle de génocide au Burundi. Si on excepte les enquêtes diligentés via watsapp, l’on pourrait se demander si cette organisation ne roule que pour ses financiers que voici:
Commission européenne, Ministère des Affaires étrangères de Finlande, Agence suédoise internationale de coopération au développement (SIDA), Ministère des Affaires étrangères de Norvège, Ministère des Affaires étrangères de France, Ministère des Affaires étrangères des Pays-Bas, Ministère des Affaires étrangères du Danemark, Irish Aid, BMZ, GIZ, Mairie de Paris, Turkish Promotional Fund, Fonds Parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat Française, Organisation Internationale de la Francophonie, Fonds de contributions volontaires des nations unies pour les victimes de la torture (UNVFT), Ambassade Française en République Centrafricaine.
La FiDH est en action comme en Libye; à en croire la campagne qui fait rage sur la twittosphère contre le président Nkurunziza de la part de cette organisation. Il est à craindre pour le Burundi ne finisse en bain de sang.
Pendant que cette organisation crie à tue tête que le « génocide » est en cours au Burundi; L’UE tente de transformer la mission des Nations Unies en Somalie en mercenaire en refusant le financement de l’une des composantes de l’AMISOM. Il y a un faisceau d’indices qu’une cabale est ourdie de la part d’une force occulte.
Comme en Libye (voir la video ci dessus), des films sont montés de toute pièce quitte à détourner des images, tant pis si ce sont des mensonges, l’essentiel pour ce réseau c’est qu’il ait du grabuge pour justifier son existence, ses financements. Comme on le dit « atagapfuye ntagakira ». Le Burundi voudrait de toutes ses forces faire mentir cet adage. C’était sans compter avec la FiDH.
Néanmoins, le Burundi a une chance de s’en sortir à chaque fois en dénonçant ce complot.
Ses dirigeants ne devront en aucun cas se reposer sur leurs lauriers, les ennemis de la Nation burundaise sont nombreux et comme à l’occasion, les intérêts financiers sont le but ultime de ces aventuriers des temps modernes.