Dans une déclaration, le ministère a demandeé aux institutions burundaises telles que la douane, l’Office Burundaise des Recettes (OBR), la police de la sécurité publique et l’administration locale de Bugesera (région où se retrouve cette espèce) de s’ impliquer davantage pour arrêter l’exploitation et la commercialisation illégale de cet espèce floristique.
Il a rappelé que des mesures visant la protection, la préservation et le repeuplement de cette espèce sont déjà prises pour assurer une gestion plus rationnelle.
Par ailleurs, le ministère burundais ayant en charge la gestion des écosystèmes invite la communauté de Kirundo et Muyinga à protéger et à préserver cet espèce en attendant les nouvelles orientations visant la multiplication de cette plante.
Cette espèce forestière, caractérisée par une odeur nauséabonde, est convoitée grâce à ses vertus médicinales et est également considérée comme une matière première pour la fabrication des parfums.